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j62 Correspondance. î, a34.

plus exercer, et ie penfe pouuoir honneftement y mettre fin. le fuis,

Mon Reuerend Père,

Voftre très humble & très obligé feruiteur, 5

DESCARTES.

du 12 fept. 1638.

CXLIII.

Descartes a Morin.

[12 septembre i638.] Texte de Clerselier, tome I, lettre 62, p. 234-243.

« Response de Monsieur Descartes à la réplique de M. Morin », ajoute Clerselier. Cette réplique est la lettre C XXXV ci-avant, du 12 août i638. Descartes ne l'avait pas encore reçue le 23 août [voir page 335 ci-avant, l. 8-10), et le i5novembre(Clers.,II,4i6)il avait reçu une nouvelle réplique à cette réponse, à savoir la lettre CXL VIII ci-après. Or comme on n'a de lui que deux lettres à Mersenne entre le 23 août et le iS novembre, celles du 12 septembre et du 1 1 octobre, sa réponse à Morin accompagnait sans doute l'une des deux, et plutôt la première; car nous savons ce qu'il a envoyé en même temps que la seconde iClers., II, 406-40J), et cette réponse n'en était pas. — On trouve au vol. II des Lettres à Mersenne {Bibl. nat., MS.fr. n. a. 62 oS), une copie sans titre, mais complète de cette lettre, insérée à deux endroits différents {p. go8-gog et pi^-prS); le texte est le même que dans l'imprimé, sauf deux particularités cu- rieuses : fonde, au lieu de fronde, un horologe, au lieu d'une horloge, et quelques variantes, que nous donnons.

Monfieur, Vos intentions paroiflent fi iuftes, & voftre cour-

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