Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, II.djvu/86

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ç 2 Correspondance. ii, 379-380-

fuis quafi mis à rira, & n'en aurois pas lu dauan|tage, n'eftoit l'eftime que ie fais de fon Autheur, & de tous ceux qui comme luy trauaillent, autant qu'ils peuuent, à la recherche des chofes naturelles, & qui, tentans des routes nouuelles, s'écartent pour le moins du grand chemin, qui ne conduit nulle part & qui ne fert qu'à fatiguer & égarer ceux qui le fuiuent. le fuis

��CXV.

Plempius a Descartes.

[Mars i638.] Texte de lob. Beverovicius, Epistolicce Qutestiones, 1644, p. 139-142.

Clerselier, tome I, lettre LXXIX,p. 374-S76 (après notre lettre CVIl du 1 5 février, à laquelle celle-ci fait réponse), donne une ver- sion française avec ce titre : « Instances du mesme Médecin de Lou- uain à Monsieur Descartes. i> L'édition latine donne le texte de Beve- rovicius. Voir prolégomènes des lettres C et C VII, 1. 1, p, 4g6 etSsi.

Descartes répondra par la lettre CXVII ci-après, du 23 mars.

Quod ad refponûones tuas ad mea obieda attinet, petis tibi fignificari quo pado eae mihi fatisfecerint; libère dicam me ijs ita non pofTe acquiefcere, quin lo reftent qusedam quae adhuc enucleatius à te dici pof- tulem.

Ad primum ais, in cordibus exemptis nonnullas fanguinis reliquias in partem in quâ pulfatio fit ex

blema (p. 59-62) et un Theorema (p. 62-1 55), dont l'énoncé est précisé- ment : Lux est substantia média proportionalis inter corpoream substan- tiam et incorpoream .

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