Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/159

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Il, i39-J40, 244-245.

��ce. — 6 Août 1640.

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a point quelque endroit ) entre E & D, comme vers 2, ou il commence a eftre en fa plus grande vitelTe, en forte qu il n'augmente ny ne diminue, depuis 2 iuf- ques à E. Car cela eft vne queftion de fait, & qui ne

5 peut élire déterminée par raifon.

I le ne fçay quelle refponfe ie fis dernièrement au billet de M" vos Médecins^, car ie la fis fi a la halle que ie | n'eus pas le tems de la reuoir; mais vous m'obligerez, s'il vous plaill, lors que vous m'enuoye-

rez ainfy quelque efcrit, de m'apprendre plus parti- culièrement les noms & qualitez de ceux qui vous l'auront donné, affin que ie fçache mieux de quelle façon i'auray a me comporter en leur refpondant. Et quoy que s'en foit,iefçauray toufiours bon gré a ceux qui s'adrelferont a moy, pour auoir efclaircilTement de ce que i'ay efcrit, & ie tafcheray de leur fatisfaire. Mais pour ceux qui tafchent de perfuader a leurs au- diteurs que i'ay efcrit des chofes qu'ils fçauent bien que ie n'ay iamais efcrites, & après les réfutent comme mienes, ie tafcheray de faire que leur mauuaife vo- lonté ne foit ignorée de perfonne.

��2 et 3 il] elle. — 4 qui omis. — 5 déterminé. — 7 M"] Mef- fieurs. — II-I2 les... donné] quelles perfonnes ce font, & leurs noms. — i3 i'auray à me] ie me dois. — Et... jusqu'à la Jîn] Et pour l'Autheurde ce Bil- let, ie croy luy auoir de l'obliga- tion de ce qu'il s'adrefle à moy,

��pour auoir éclairciffement de ce que i'ay écrit : car cette procé- dure eft bien plus honnefte & plus iufte que celle de N. (du P. Bourdin, Inst.), qui a tâché de perfuader à fes Auditeurs que i'ay écrit des chofes auf- quellesie n'ay iamais penfé, afin de les pouuoir réfuter. le fuis.

��a. « Cf. p. 240. La 78» des MSS, de M. de la Hire » [Note de l'exem- plaire de rinstitut), c'est-à-dire la lettre CXCIX bis, p. i38 ci-avant,

b. Sic pour c'en.

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