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��Correspondance.
��m, 63-6-4.
��telles machines ; mais non pas phyficè ou moraliter loquendo, pource qu'il y faudroit des reflbrts fi fubtils, & enfemble fi forts, qu'ils ne fçauroient eftre fabri- ' quez par des hommes.
Vous n'auez pas bien pris ce que ie defirois eftre 5 expérimenté pour le jet des eaux, ou plûtoft ie ne me fuis pas aflez expliqué". Car ma difficulté eft, û
ayant vn tuyau H A K, par tout également large, excepté feule- ment qu'il foit étreci en vn en- 10 droit, par le moyen d'vn bouchon percé par le milieu comme B, qui rempliife iuftement toute la capa- cité du tuyau, en forte que toute Teau doiue pafTer par le trou qu'il i5 a au milieu, ie demande fi, lors que ce bouchon B fera mis à l'endroit du tuyau mar- qué A, il n'empefchera pas moms l'eau de couler, que s'il eft mis à l'endroit marqué K.
le vous ay defia écrit plufieurs fois que ie ne croy 20 point que la vitelfe des corps qui defcendent s'aug- mente toû|jours 111 ratione duplicata temporum, mais qu'elle peut bien s'augmenter à peu prés en cette forte, au commencement qu'ils defcendent, bien
���2-3 fi. . . fi] trop. . . trop. — 3 après &] tout ajouté. — qu'ils ne fçauroient] pour. — 7 expliqué] fait entendre. — 10 qu'il... étreci omis. — I 1-12 par. . . milieu] où
��il foit bouché de quelque corps. — 14-16 en forte... milieu] & qui ait feulement vn trou au milieu, par lequel l'eau puiffe paffer. — 16 ie demande] à fçauoir, dis-ie.
��a. Voir p. i32 ci-avant, 1. 2?.
b. Tome II, p. 386, 1. i5 ; p. 442, 1. 21 ; p. Sji, 1. i3 ; III, p. ii, 1. 12 ■ p. 38, 1. 4-
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