Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/33

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

11, 2. o. CLXXXIV. — i'^ Février 1640. 21

ques, que les enfans reçoiuent des enuies de leurs mères ^. le fuis,

Monfieur,

Voflre tres-humble & tres-acquis feruiteur, descartes.

��Page 19, 1. 12. — Sur cette question de la glande conarion, nous avons deux lettres curieuses à Mersenne, l'une de Villiers, médecin de Sens, et l'autre de Meyssonnier, qui répond à Villiers. Toutes deux furent com- muniquées à Descartes, et nous les citerons comme éclaircissements d'une lettre ci-après, du 3o juillet 1640, lorsque le philosophe y répondra (Clers., II, 229 et 23 1).

��CLXXXIV. Descartes a Waessenaer.

jcr février 1640. Autographe, Londres, British Muséum, MS. Add. 21514.

Publiée par D.-J. Korteweg, Archives Néerlandaises,- 1. XXII, et par Bierens de Haan, Verslagen en Mededeelingen der Koninklijke Akademie van Wetenschappen, Afdeeling, y^ Reeks, Deel IIÎ, 1887. La lettre est antidatée : Descartes a iriis par avance la date du jour oit IVaesseiiaer devait expédier cette lettre, ainsi que deux autres, à Hooghdande (p. 22,1. 8).

Monfieur I. A. WaelTenaer*,

. Ick"" bidde u 'willen drie brieven fchriiven, 2 aen de twee profefTors Mat. van Leyden, Mynheer Golius en

a. Voir La Dioptrique, Discours cinquiesme, fin, p. 5o.

b. On trouvera aux éclaircissements une traduction française des par- ties de cette lettre qui sont en flamand.

�� �