472 Correspondance. 1,479-
frère aîné [en marge : Lctir. iMS. de Descartes à son frère du 28 Dec. 1641", qu'il e/limoit
plus mille francs de fucceffion, que dix mille livres qui viennent d'ailleurs. »
(Baillet, II, 462.)
��CCLXII. Descartes au P. [Gibieuf].
[Endegeest, ig janvier 1642.] Copie MS., Bibliothèque Nationale, fr. n. a. 62o5, f-^ 71 (p. 143).
Variantes d'après le texte de Clerselier, t. I, lettre io5, p. 47g- 484. « A vu R. Père de l'Oratoire, Docteur de Sorbonne », dit-il simplement, sans donner de nom ni la date ■ de cette lettre. Mais la lettre suivante {p. 480) nous apprend que celle-ci est adressée au P. Gibiet'tfet a été envoyée en même temps, le i g janvier 1642.
Monfieur & Reuerend Père,
l'ay toufiours alTez efprouué combien vous fauorifiés le deiir que i'ay de faire quelque progrés en la recher- che de la vérité % & le tefmoignage que vous m'en rendes encor par letres m'oblige extrêmement. le fuis aulTy très obligé au Reuerend Père de la Barde ^, pour auoir pris la peine d'examiner mes penfées de Meta- phyfique, & m'auoir fait la faueur de les défendre contre ceux qui m'accufoient de mettre tout en doute.
I Reuerend] R. — 2 toufiours omis. — G R. P. — 7 d'examiner] de lire.
a. Voir t. I, p. 16, et ci-avant, t. III, p. 236.
b. Ci-avant p. 420, 1. 3^
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