180 Correspondance. ui,6u.
Suivent les réponses de Schoock :
« Ad i. affirm(at). »
« 2. Data mandata editionis soli Waterlaut, quam tamen non putat » ipsum solum procurasse. »
« 3. Waterlaet exactor fuit cartarum, et solus scripsit, nomine tamen » alterius, ut suspicatur. »
« 4. Quia Waterlaet urgebat. »
t 5. Saepius scripsit Waterlaet se nolle nomen suum praefixi, neque » ipse nomen suum prasfixerat. »
Toutes les réponses de Schoock se trouvent p. 5 1 -58 du registre.
Dans un des deux mémoires justificatifs qu'il avait remis à ses col- lègues, on remarque, p. 96, le passage suivant. Schoock allègue, entre autres choses, l'inquiétude que cause la suppression des formes substan- tielles dans la philosophie de Descartes, et il cite à ce propos Froidmont, de Louvain, et Revius, de Leyde. « Inde hsc legissem in epistolà manu- » scriptà Liberti Fromondi (anno 1637), quâ ad Fortunatum Plempium, « Medicum Lovaniensem (3" septemb.) suum judicium de Cartesii Me- » thodo gallicâ his vcrbis proponit. » Suit la citation textuelle d'un pas- sage, qu'on a vu, t. I de cette édition, p. 403, 1. 1 1-20 : si automatum . . . nobis associent (pro infarciant). Quant à Revius, Schoock le cite au sujet de thèses soutenues à Leyde, « mense Julro, anno 1643 ». Ce sont sans doute les mêmes dont parle Descartes, ci-avant p. 78, 1. 5, et qui auraient été soutenues par Heereboord.
La sentence fut rendue par le Sénat académique de Groningue le 10/20 avril. Voir ci-après lettre CCCLXXIV, éclaircissement.
��CCCLXX.
Descartes a l'Abbé Picot.
[Egmondj, 17 février 1645. Texte de Clerselier, tome III, lettre 1 1 5, p. 6i2-6i3.
Monfieur,
I'av efté extrêmement aife de receuoir voltre troi- sième Partie", & ie vous en remercie tres-humblement.
a. La traduction française de la 3" partie des Principia Philosophiœ, Voir pour la 1" et la 2°, ci-avant p. 147.
�� �