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Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, IV.djvu/236

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manquent point de m’eſtre renduës, & comme il n’y a rien au monde que ie deſire auec tant de paſſion que de pouuoir rendre ſeruice à voſtre Alteſſe, il n’y a rien auſſi qui me puiſſe rendre plus heureux, que d’auoir l’honneur de receuoir ſes commandemens. Ie ſuis, &c.


CCCLXXXI.

Descartes à l’Abbé Picot.

[Egmond], 1er juin 1645.

[A. Baillet], La Vie de Monsieur Des-Cartes, t. II, p. 247.


Cette phrase termine l’alinéa où Baillet résume deux lettres précédentes à Picot, du 8 nov. 1644 et du 9 févr. 1645 (voir p. 147 et 175 ci-avant).


« Pour la quatrième partie de cette verfion (version française des Principes), elle ne fut achevée de plus de six mois après [en marge : Lettr. MS. à Picot du 1er Juin 1645]. » (Baillet, II, 247.)


CCCLXXXII.

Descartes à [Huygens ?]

[Egmond, juin 1645 ?]

Texte de Clerselier, tome I, lettre 109, p. 491-493.


« À Monsieur *** », dit Clerselier, sans donner de nom ni de date. Mais un passage de la lettre (p. 225, l. 17) indique qu’elle fut écrite entre février 1645 et janvier 1646. Un autre passage fait allusion aux affaires d’Utrecht, sans doute à ce qui s’y passa, lorsque la sentence de Groningue (20 avril 1645) y fut connue. D’autre part