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montroit qiïil y en a qui nous portent aux aélions raifon- nables. Mais ie maffeure que vous m'y donnerez plus de lumière, quand vous expliquerez comment la force des payions les rend d'autant plus vtiles, lorfqu elles font fu- iettes a la raifon. 5
le receuray cette faueur a Rifwyck, ou nous allons demeurer, iufqua ce que cette maifon ici f oit nettoyée, en celle du prince d'Orange; mais vous n'aue^ point befoin de changer pour cela l'adreffe de vos lettres a
Voflre tres-affeclionnée amie a vous feruir, «o
ELISABETH.
Ce3/i3 7 bre .
Monfieur Defcartes.
��CDIII.
Descartes a Elisabeth.
Egmond, i3 septembre 1645.
Copie MS., Marburg, Staatsarchiv, I.ettr. de Desc, n° î.
« A Madame Elisabeth, Princesse Palatine, etc. », dit Clerselier, t. I, lettre 7, p. 22-26, sans donner de date. Réponse, non pas à la lettre du i3, ci-avant p. 28-] , mais à la lettre CD, p. 2-jS.
Madame,
Voftre Altefle a û exactement remarqué toutes les (5 caufes qui ont empefché Seneque de nous expofer clairement fon opinion touchant le fouuerain bien,
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