DE LA Philosophie.
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��font les préjugez de noftre enfance 58
72. Que la féconde eft que nous ne pouuons oublier
ces préjugez 59
73. La troiliéme, que noftre efprit fe fatigue quand il fe rend attentif à toutes les chofes dont nous jugeons. 60
74. La quatrième, que nous attachons nos penfccs à
��des paroles qui ne les ex- priment pas exaflement. . 60
75. Abrégé de tout ce qu'on doit obferuer pour bien philofopher 61
76. Que nous deuons préférer l'authorité diuine à nos raifonnemens, & ne rien croire de ce qui n'eft pas reuelé que nous ne le con- noilTions fort clairement. 62
��SECONDE PARTIE Des Principes des chofes matérielles.
��1. Quelles raifons nous font
fçauoir certainement qu'il y a des corps 63
2. Comment nous fçauonsaufTi
que noftre ame eft jointe à
vn corps 64
3. Que nos fens ne nous enfei-
gnent pas la nature des chofes, mais feulement ce en quoy elles nous font vtiles ou nuifibles n
4. Que ce n'eft pas la pefan-
teur, ni la dureté, ny la couleur, &c., qui conftituc la nature du corps, mais l'extenfwn feule 65
5. Que cette vérité eft obfcui-
cie par les opinions dont on eft préocupé touchant la rarefaclion & le vuide.. )■>
6. Comment fe fait la rarefa-
aion 66
7. Qu'elle ne peut eftrc intelli-
giblement expliquée qu'en la façon icy propofée. ... x
��8. Que la grandeur ne difere
de ce qui eft grand, ny le nombre des chofes nom- brées, que par noftre pen- fée 67
9. Que la fubftance corporelle
ne peut eftre clairement conceuë fans fon exten- fion 68
10. Ce que c'eft que l'efpace
ou le lieu intérieur »
11. En quel fens on peut dire qu'il n'eft point différent
du corps qu'il contient... »
12. Et en quel fens il en eft différent 69
i3. Ce que c'eft que le lieu ex- térieur »
14. Quelle différence il y a entre le lieu & l'efpace. . . 70
i5. Comment la fuperficie qui enuironne vn corps peut elfre prife pour fon lieu extérieur 71
16. Qu'il ne peut y auoir aucun
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