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Paul Tannery xi

nous avon s imprimés aussi en langue flamande : la traduction est de Paul Tannery, p. 645-650 et p. 657-658 (comme déjà au tome III, p. 28-3o et p. 3i-33). Ce fut lui seul aussi qui publia et annota la lettre cccxxxiv, de Mersenne à Descartes, p. 68-70, et la lettre cdxvi, p. 342-344, sur Pell et Longomontanus. On lui doit également les pages sur Roberval et le problème de Pappus encore, p. 364-366; sur le « centre d'agitation » et les expériences de Cavendish, p. 370-371, p. 388-389, p. 41g, p. 428, et surtout p. 597-600; sur Torricelli, p. 556-558, et plus loin, aux additions, p. 675-678. A côté de ces pièces capi- tales, dont plusieurs sont encore des dissertations véritables, mentionnons, pour mémoire, de petites notes d'érudition, p. 206 a et b, p. 36 1 et p. 692, et de petites corrections et rectifications, ou même de simples réserves, p. 367 a, p. 368 a, p. 392 a, p. 472 (dernier alinéa), p. 5o8 a, p. 5?7 b, p. 553 d, p. 601 a, p. 645, p. 652, p. 655, p. 657, p. 696 a, b,c, et p. 697 a. Enfin, pour terminer, un petit chef-d'œuvre, tel que seul Paul Tannery pouvait l'écrire, p. 68o-683, sur la Musique.

Le tome V(mars 1647 à février i65o) contient, entre autres choses, un échange de lettres entre Descartes et Carcavi. renouveau de l'ancienne querelle avec Fermât et Roberval. L'érudition de Paul Tannery trouvait donc là encore ma- tière à s'exercer, pour le plus grand profit de notre édition : voir notamment, p. 367-369, p. 421 c, p. 422-425, p. 465, et enfin p. 554-555. Ajoutons-y deux lettres, dont l'une inédite, entre Roberval et Torricelli, sur la quadrature de la cycloïde, p. 425-428, quelques notules curieuses, p. 169 c, p. 372 c p. 529-53o, p. 542, p. 55g, et deux renseignements relatifs, à Huygens (Christian), p. 552, et à Galilée, p. 553. Mais ce dont Paul Tannery était le plus fier, et à bon droit, et ce dont j'étais fier avec lui pour notre volume V, c'est le riche butin qu'il rapporta de la Bibliothèque Impériale et Royale, au retour d'un voyage d'exploration à Vienne. Ce sont d'abord quatre lettres inédites de Le Tenneur à Mersenne, p. 77-79, p. 102, p. io3-io5, et p. 120-121, dont plusieurs passages fournissent

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