Page:Descartes - Les Passions de l’âme, éd. 1649.djvu/336

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

s’en rendre tellement maître & à les ménager avec tant d’adreſſe, que les maux qu’elles cauſent ſont fort ſupportables, & meſme qu’on tire de la joie de tous.