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IV
LA MÈRE
Ses enfants. Pauvreté. Deuils. Déclin.
Derniers jours.
arceline n’accompagnait pas son mari à
Lyon parce que ses enfants avaient besoin
d’elle, et besoin d’elle à Paris. Son fils Hippolyte,
qui voulait être peintre, allait avoir pour maître,
après Renou, Paul Delaroche, désireux d’acquitter
une dette envers l’oncle Constant Desbordes,
qui lui avait, le premier, fait tenir un crayon. Ondine
venait d’entrer, également pour dessiner, chez
Mme Handebourg-Lescot, dont l’atelier se trouvait
rue La Bruyère, où demeurait alors la famille Valmore…
Et puis…, et puis, la pauvre femme était
si lasse, que l’on entend comme un écho de sa
prière quotidienne dans ce vers suppliant du Dimanche des rameaux :
Défendez aux chemins de m’emmener encore !