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Un se dit : — meï (Annam. mot). | ||
Deux, — pieï (A. haï). | ||
Trois, — pi (A. ba). | ||
Quatre, — pan (A. bon). | ||
Cinq, — phou-kian. | ||
Six, — phou-kian-meï. | C’est-à-dire, cinq-un, cinq-deux, etc. | |
Sept, — phou-kian-pieï. | ||
Huit, — phou-kian-peï. | ||
Neuf, — phou-kian-pan. | ||
Dix, — ta (A. tap-mouo). | ||
Père, — Pa-to (sanscrit, Pita). | ||
Oncle, — Pa-to. | ||
Mère, — (Ann. me). |
On donne ce même nom par honneur aux tantes, aux belles-sœurs, aux veuves et aux femmes du voisinage, ainsi qu’aux femmes âgées.
Frère aîné, — pang. |
Sœur aînée, — id. |
Frère cadet, — pou-wen. |
Oncle maternel, — khi-laï. |
Beau-père, — phou-laï[1]. |
- ↑ Ajoutez à ces mots ceux qui sont épars dans le reste de la relation. An-ting ou Pa-ting, magistrat. — Pa-cha, autre titre de charge. — Sse-la-ti, id. — Panki, lettré. — Tchou-kou, religieux. — Pa-sse, Tao-sse. — Phou-laï, Bouddha. — Tchin-kia-lan, dames du palais. — Kia-té, la première lune. — Yaï-lan, sorte de danse. — Pou-se, cheval. — Louan, coq. — Tchi-lou, porc. — Ko (sanscrit, gau), bœuf. — Pheng-ya-sse, nom d’un arbre et d’une boisson