sse[1], le cormoran, la cigogne, la grue, le canard sauvage et le hoang-tsio s’y trouvent pareillement ; ceux qui ne vivent pas dans ce pays sont la pie, l’oie sauvage, le faucon, le loriot, l’hirondelle tou-iu, le pigeon et d’autres espèces analogues.
Au nombre des quadrupèdes on remarque le rhinocéros, l’éléphant, le bœuf sauvage et le cheval de montagnes, qui ne se trouvent pas à la Chine ; les autres, comme le léopard, la panthère, l’ours, l’ours à crinière, le sanglier, le grand cerf, le daim, le singe, le renard, sont en très-grande quantité ; ceux qui sont rares sont le lion, le sing-sing[2], le chameau. On ne parle pas du coq, du canard, du cheval, du bœuf, du cochon, du mouton. Les chevaux sont très-petits. Il y a beaucoup de petits bœufs ; les habitans les montent ; mais, quand ils meurent, ils n’osent se nourrir de leur chair, ni les écorcher ; ils les laissent pourrir, fondés sur ce que ces animaux