Page:Desmarets - Clovis ou la France Chrétienne.djvu/170

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Mon amour innocent, et ma triste infortune,
Te livreront sans cesse une attaque importune.
Le prince, pour soustien n’ayant que son transport,
Ainsi par la fureur fait un dernier effort :
En vain frape les airs d’un propos inutile :
Puis il retombe à terre ; et devient immobile.
Le triste Gondomar, de pitié paslissant,
Avec l’ayde des siens, l’emporte en gemissant.
Et par tout le palais, les voûtes sont attaintes
De murmures confus, de sanglots, et de plaintes.