Page:Desportes - Premières œuvres (éd. 1600) VII - Meslanges II.djvu/90

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Quand ei vous voy si belle
Quand ie voy flamboyer
Quand la fiere beauté
Quant l'ardente ieunesse
Quand le Soleil doré
Quand l'ombrageuse nuict
Quand nous aurons passé
Quand premier Hippolyte
Quãd quelque fois ie pese à ma premiere vie
Qu'auance-ie en l'aimant
Que d'agreables feux
Que ie hay l'inconstance
Que ie suis redeuable
Quel ciel noirci de pluye
Quel destin fauorable
Quel martyre assez fort
Quel supplice infernal
Que maudits soyent mes yeux
Que me sert d'aimer tant
Que ne suis ie endormi
Que trop d'amour me seiche
Que fait plainte d'Amour

Q'uil souffre incessamment
Qui veut fermer l'entree
Qui voit vous yeux diuins
Qu'on m'arrache le coeur
Qu'on ne me prenne pas
Quoy que face le Ciel
Quoy que vous en pensiez
Qu'une secrette ardeur
Raui de mon penser
Recherche qui voudra
Rendez-vous plus cruels
Se fascher des propos
Se peut-il trouuer peine
Si c'est aimer
Si ce n'est qu'amitié
Si ceste grand beauté
Si doucement
Si i'aime autre que vous
Si i'aime iamais plus
Si ie me siés à l'ombre
Si ie puis desloger
Si la foy plus certaine
Si la fureur d'Amour
Si la loy des Amours
Si l'amour de ma foy
Si la pitié
Si la vierge Frigone
Si le mari ialoux