Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/24

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Soudain comme des morts par miracle rendus
À la clarté du jour et, le cœur éperdu,
Repoussant les enfants et les mères en larmes,

Bondirent, au soleil qui évoqua leurs torses,
Victorieusement en brandissant leurs armes,
Tous les héros et tous les guerriers de ma Force.