Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/32

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Alors sur la pâleur de tes épaules mates
Et de ta gorge, ainsi qu’un camail ténébreux
Imprégné de parfums subtils et d’aromates,

Tes cheveux glisseront, frères des eaux dormantes,
Et les anges du Mal verront seuls dans nos yeux
Nos âmes dérouler leurs fresques violentes.