Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/36

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Midi brûle aux touffeurs de tes aisselles blondes,
Et le rythme qui meut secrètement les mondes
Nous entraîne, animés de la même fureur,

Vers les gouffres béants où s’abîment les âmes
Avides de jeter leurs dernières lueurs,
Comme de grands soleils sans chaleur et sans flamme.