Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/40

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Et dans un dernier souffle à ton corps qui s’étale,
Blême, je ravirai d’une lèvre brutale
Un feu qui chauffera mon fantôme glacé,

Quand sur les bords du Styx, solitaire et morose,
Je verrai ton image à jamais s’effacer,
Comme un qui voit mourir et s’effeuiller des roses.