Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/52

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Sous les arbres, dorées d’une poussière blonde
Les routes propageaient l’allégresse du monde ;
Les portes des maisons riaient émerveillées.

Et les sentiers, sifflant entre leurs baies acides,
Saluaient de leurs chants le beau matin lucide :
Strophe d’or du poème ardent de la journée.