Page:Devaux - Les Fellatores, mœurs de la décadence, 1888.djvu/6

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Mais, comme il est avéré, qu’en France, on n’écrit sur les vices que pour causer un scandale, qu’en outre, ma plume pourrait être suspectée de couvrir littérairement la perversion de fleurs de rhétorique, je renonce à toute idée de préface, laissant le public juge de mes intentions, de l’authenticité de mes documents, de la précision de mes recherches.

Quant à moi, je reste persuadé que, lorsque les hommes de fortune assise n’ont plus :

Ni foi en Dieu,

Ni crainte de la justice,

Ni respect d’eux-mêmes,

le devoir du publiciste est de ramasser leur fange et de la leur jeter au visage !


Dr LUIZ.