Page:Devaux - Les Fellatores, mœurs de la décadence, 1888.djvu/85

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café, le noble ruiné par les révolutions, obtint les bénéfices de sa cafarderie. Il offrit des consolations à son maître.

La jupe de religieuse était un peu courte pour lui, mais Ivan aimait mieux cela.

Une semaine après la rupture, Clapotis éprouva le besoin d’écrire à Boïard une lettre dans laquelle on lisait au milieu d’autres bêtises :

« Donne les effets que j’ai laissés chez toi à quelque pauvre. »

Bob répondit par lettre, également :

« Un pauvre ne voudrait pas de tes effets, il se souillerait. »

L’injure convenait bien au juif immonde.