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loups-garous ; c’est moi qui vous l’arrangerais de la belle manière !

Propos inconvenants, vous l’avouerez, et qu’on ne devrait rencontrer dans la bouche d’un chrétien qui respecte les secrets du bon Dieu ! — Ne vas pas croire au moins, Ambroise, que je dis ça pour toi. Je parle en général.

Il faut vous dire que Jean Plante vivait alors — il y a de ça une vingtaine d’années — dans un vieux moulin à farine situé en bas des côtes de l’Argentenay, à pas moins de dix arpents de la plus proche habitation. Il avait avec lui, pendant le jour, son jeune frère Thomas pour lui aider à faire les moulanges ; mais, la nuit, il couchait tout fin seul au second étage.

C’est qu’il n’était pas peureux,