nie, enfin, qui est une étincelle volée au dévorant foyer de science dont la personne de Dieu est environnée !…
Halte-là ! et hâtons-nous de tirer une seconde conclusion qui découle essentiellement de la première ; c’est que Georges Labrosse, qui a mainte fois exécuté le tour de force intellectuel ci-haut mentionné est encore mieux doué sous le rapport du génie que tout autres.
Et de quatre !
II
Donc, Labrosse réussira. Ou, s’il ne réussit pas, c’est que l’occasion sera devenue chauve et qu’il ne pourra la saisir aux cheveux.
Mais ceci n’est pas probable : — car il n’est pas, que nous sachions, de crâne tellement ravagé, qu’on ne puisse y trouver par ci par là, quelque touffe rabougrie.
Or, tout nu et tant peu fertile que soit par le temps qui court, celui de dame Occasion, notre héros pourra bien y découvrir ses rares cheveux — fussent-ils faux !
Mais il faudra que, de son côté, l’occasion y mette de la bonne grâce, qu’elle passe, avec fanfares et trompettes, à la portée de la main de Georges. Car nous ne le cachons pas — Labrosse est paresseux et idolâtre du far niente.
Une chose qu’il se reproche amèrement, c’est de n’être point né en Orient — là où la vie est si douce, la sieste si longue, les divans si mœlleux, le regard des femmes si langoureux ! Il s’est maintes fois surpris à rêver nar-