Page:Dickens - Les Grandes Espérances, Hachette, 1896, tome 1.djvu/103

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Après avoir dit au garçon de boutique quel jour je reviendrais chez miss Havisham, je me mis en route pour regagner notre forge, songeant en marchant à tout ce que j’avais vu, et repassant dans mon esprit : que je n’étais qu’un vulgaire ouvrier ; que mes mains étaient rudes et mes souliers épais ; que j’avais contracté la déplorable habitude d’appeler les valets des Jeannots ; que j’étais bien plus ignorant que je ne l’avais cru la veille, et qu’en général, je ne valais pas grand’chose.

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