Page:Dickens - Les Grandes Espérances, Hachette, 1896, tome 1.djvu/266

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vis dans ses yeux le même étonnement que je savais être dans les miens, et il dit en se reculant :

« Que Dieu me bénisse ! vous êtes le jeune garçon que j’ai trouvé rôdant…

— Et vous, dis-je, vous êtes le jeune homme pâle de la brasserie ! »


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