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du midi », Eccli., xxxiv, 19 ; mais là encore cet ombrage peut avoir différentes causes. Au psaume cxl (cxxxix), 8, l’auteur sacré dit à Dieu : « Tu ombrages (sakkôtâh, ê7r£<rxia<ra « , obumbrasti) ma tête au jour de la guerre. » Il s ! agit ici d’un ombrage mobile, qui couvre le guerrier pendant les péripéties de la lutte et
est beaucoup plus probable que, dans ce passage, l’allusion est exclusivement biblique. Cf. Exod., XL, 35 ;
Num., ix, 22. -
- PARBAR##
PARBAR, mot qui se lit deux fois (avec l’article hap-parbâr), dans le texte hébreu. I Par., xxvi, 18. les
569. — Assurbanipal sur son char avec son parasol.
par conséquent se meut avec lui. Ce texte fait penser naturellement aux rois assyriens, debout sur leur char de guerre, tandis qu’un esclave tient le parasol au-dessus de leur tête. L’allusion n’est pourtant pas certaine. S’il était démontré que le parasol constituait un insigne de dignité royale en Orient, peut-être pourrait-on encore y chercher une allusion dans les paroles de l’ange à Marie : « La puissance du Très-Haut t’ombragera, Êm<Txtâ<ree <roi, obumbrabil tibi. » Luc, I, 35. Mais il
Septante l’ont traduit par SiaSexouivouç et la Vulgate par cellules. Beaucoup de commentateurs croient que le mot Parbâr est identique au mot Parvarîm qui se Ut II (IV) Reg., xxiii, 11 (Vulgate : Pharurim). Voir Pharcrim.
PARCHEMIN- — 1° Nom, origine, fabrication. — En dehors de l’Egypte où, dés la plus haute antiquité, le papyrus fut employé concurremment avec le cuir,