Aller au contenu

Page:Dictionnaire de théologie catholique, tables générales - vol. 2, 1967.djvu/232

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

2475

verse sur le péché originel au début du XIVe siècle, Louvain, 1930 (péché originel) ; A. Lang, Die Wege der Glaubensbegrändung bei den Scholastikern des 14. Jahrhunderts, Munster, 1931 (les fondements de la foi} : Th. (Graf, De subiecto psychiro gratiæ et virtulum secundum doctrinam scholasticorum usque ad medium sæculum ÆlV, Rome, 1935 (le sujet d’inhérence de la grâce et des vertus infuses) : G. Duggan, T’he teaching of St. Thomas regarding the formal constitative o{ human personalily, dans New Scholasticism, 1941, p. 318-49 (l’essence de la personnalité) ; E. M. Küppers, Bienaventuranza y relleriôn segun los tectogos del siglo X1V, dans Strena Raphael Trotta, La Plata, 1948, p. 91-166 (la béatitude) ; M. Grabmann, Lie théologische Frkenninis-und Einleitungslehre des hl. Thomas von Aquin au, (irund seiner Sobrift « In Boethium de Trinitale », un Zusammenhang der Scholastik des 13. und beginnenden 14. Jahrhunderts dargestelle, Fribourg en Suisse, 1948 sproblèmes de l’épistémologie théologique)

☞ Stella, Zwei unedierte Artikel des Johannes von Neapel über das Individuationsprinzip, loc. est. sprincipe d’individuation). Voir en outre M. Grabmann, Mittelalterliches Geistesleben, 1, 1926, p. 3734-82

☞ Koch, Durandus de S. Porciano, 1927, p. 200-208 et 285-314.

J.-C. DiptFr. Sur la théolagie comme science, xv, 658. — Défense de S. Thomas contre Tempier, 106 ; cf. xtt, 2034 : — doctrine du quo et quod est, xv, 673, 674-75 ; — unité de forme, 677. — Examen des thèses de Durand de Saint-Pourçain, x11, 497, 498 (péché originel). — Sur l’’Immaculée Conception, vri, 1078- 79, 1099 ses. H. Ameri. O. F. M., Doctrina théologorum de immaculalia B. V. Mariæ conceplione lempore concilit Basiliensis, Rome, 1954, passim). — A propos d’usure : responsabilité du souverain, xv, 2355 ; — prix de vente, 2357. — Cité : vi, 896.

JEAN

NATHANAEL. — Théologien grec du xvi® s., économe et épitrope du patriarche œcuménique Jérémie IL Sans doute, il rapporte les éloges décernés par la liturgie à Marie ; mais il affirme très nettement que la sainte Théotocos fut purifiée de la souillure originelle au moment de l’Annonotation « car cette souillure se trouvait en elle ». Voir le texte dans M. Jugie, L’Immaculée Conception dans l’Écriture sainte et la tradition orientale, p. 329. Cf. vis, 965.

JEAN DE

NICÉE. — Personnage à identifier probablement avec Isaac l’Arménien, vis, 12-14.

JEAN II

NIKIOTES, patriarche d’Alexandrie (505- 516). — Lettre de Philoxène de Mabboug, x11, 1524.

JEAN NYDER., — Voir Nyder.

JEAN OGILVIE. — Jeune martyr anglais du temps de la Hiéforme : son humour, x, 253.

JEAN OLDRADO DE MEDA (Saint) (t 1159). — Fondateur des Fiumiliés

☞), vu, 312.

JEAN D’ORODN. — Théologien arménien du x1v°s. exégète, abbé d’Abragun, adversaire des frères uniteurs (, 1904), en raison de leurs pratiques de latinisation. Cependant on ne peut lui reprocher aucune erreur proprement dite, bien qu’il use parfois, en christologie, de formules monophysites. Cf. Jean de Serpos, Compendio storico di memorie cronologiche concernenti la religione e la morale della nazione Armena suddita dell impero Ottomano, n, Venise, 1786, p. 115-19. Orodn a laissé des Commentaires sur l’Évangile de S. Jean et les épitres de S. Paul ce quelques homélies sur différents textes de l’Écriture. Cf. M. Jugie, T. D. C. O., v, 486-87. Prérogatives conférées à S. Pierre, xtr1, 357. — Diverses erreurs sur la Trinité, l’eschatologie, dans Jugie, T. D. C. O., v, 607, 761, 771. — Cité : 1. 1942.

JEAN OTZNETZI (en latin Ozniensis). — Catholicos arménien (717-28), dont les œuvres sont indiquées 1, 1938. — Explication de la formule Una natura Verbi incarnali, x, 2234-35 ; — sur le Trisagion, 2239, —- Sur les pauliciens d’Asie ean d’Otzoun), X11, 58. — Extrême-onction, v, 1971.

On trouve dans Jugie, T. D. C. O., v, 532-36, un résumé de la doctrine christologique de J. O. dans le traité Contra Phantasiastas. Voir aussi p. 521-22, 525, 578-81 seulte des images), 733-35 (extrême-onction) : 749-50 (les secondes noces), 768, 787 seschatologie).

JEAN 2476 Jugie fait observer p. 481, note 2, que L. Petit, 1, 1938, indique à tort que le Discours contre Matïragonient a été publié dans les (Euvres complètes de Jean Otznetzi, Venise, 1853.

JEAN D’OTZOUN, patriarche arménien (vii1® s.). — Voir le précédent.

JEAN D’OUDEWATER ou PALÆONYDORUS ou DE

AQUAVETERE. — Notice { V. Oblet}, vaut, 826.

JEAN DE

PALAFOX, évêque d’Osma. — Projet de sa canonisation et l’Église d’Utrecht, xv, 2418-19.

JEAN

PALÉOLOQUE. — Jean V (1341-76 et 1379-90), et ses tentatives d’union avec Rome, 111, 1399 : xv, 2297 ; cité : xur, 1502. — Jean VII (1390) ; cité : sr, 1400. — Jean VIII (1425-48), un, 1401 ; vi, 27-28, 30-31.

JEAN

PARASTRON. — Frère franciscain : son rôle dans le 1se tout. de Lyon, 1x, 1387, 1390, 1393 ; — cité dans le texte même de la profession de foi, 1385.

JEAN DE

PARIS. — Deux dominicains portent ce nom : Jean Pointlane et Jean Quidort. Voir ces noms, infra.

JEAN DE

PARME (Le Bilenheureux), ministre général des Frères Mineurs. — Notice [P. Édouard d’Alençon], vin, 794-96. — L’affaire du joachimisme sous son généralat, ses compromissions et sa démission, vint, 1442-45 : cf. 1451

☞ livi), 1452 (Ange de Clareno) : ; x1v, 2526 (S. Bonaventure ; voir 11, 964) ; — sauvé de la condamnation, x1v, 2527. — Conseil aux Spirituels, 2529 ; — cité : 2544, 2545. — J. de P., Salimbene et Innocent IV, x1v, 1036. Cinq personnages portent le nom de Jean de Parme : 1° Le Bienheureux Jean de Parme (Buralli}, dont il est question au début de la notice.

2° Jean de Parme, frère mineur du x1v ! ’s., de son nom de famille Jean-Genès Quaglia : voir son article à Quaglia. 3° Jean de Parme, O. P. D’après les rares données que nous avons sur lui, il « dû arriver à Paris, couvent de S.- Jacques, vers 1303. Il acquiert sa licence en théologie en 1313. Son nom figure au bas de la censure des 93 articles de Durand de Saint-Pourçain, en date du 13 juill. 1314. On ignore la date de sa mort. Îl a dû commenter les Sentences, mais rien ne nous est parvenu. Au reste, mis à part une question disputée, nous n’avons rien qui puisse lui être attribué avec certitude. En tout cas le Cortérisorium Correctorii « Sriendum » ne lui appartient pas. Cf. Tables, 822. P. Glorieux, Répertoire… 1, p. 221- 22. Cependant on aurail tendance à lui reconnaître des questions sur la personne divine et la relation, publiées sous te nom de Mañstre Eckhart (Magistri Eckardi Opera omnia, x1I1 : Quæstiones parisienses, éd. A. Dondaine, Leipzig, 1936).

4° Jean de Parme, médecin, fils d’Albert de Fusia (début du x1v° 5.), auteur présumé des traités De medicinis et De consolutione meidicinarum. Cf. x1n1, 1435. 5° Jean de Parme. chanoine, également médecin, qui jouit d’une grande réputation vers 1350. Cf. x11t, 1435.

J.-C. DIDIER.

JEAN

PETIT. — Voir Jean de Salisbury. _

JEAN

PETIT. — Voir Petit

☞ ean),

JEAN

PHILOPON. — Notice {G. Bardy], vit, 831- 39. — Son trithéisme, 1v, 39-40 ; xv, 1694. — Cité : 1861 ; 111, 2129 : x11, 2290.

s L’Arbitre » a été édité par Sanda, Opnscula monophysitica J. Philoponi, Beyrouth, 1930 (texte syriaque avec trad. latine). En plus de l’étude de G. Bardy, citons W. Kroll, dans Realencycl. der klassischen Alterlumswissenschaft, rx, Stuttgart, 1764-95 ; Furlani, dans Atti Accadem. Torina, 1920, p. 188-94 (l’anathème contre Ph.) ; Riv. trimestr. di Studi filos. e relig., Pérouse, 1922, p. 385-404 (sur L’- Arbitre ») : Th. Hermann, dans Zeitschrift für neusest. Wissenschajt und dit Kunde der äliterer Kirche, Giessen, 1930, p. 209-64 (sur son monophysisme : Jugie. dans Échos d’Orient, 1934, p. 187-89, (contre la primauté du pape) : Sur le commentaire du De anima : Leemans, dans Antiquité classique, Louvain, 1932, p. 203-13 ; Schissel,