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CYZ — 1703 CYZ fort rares, au même poids, qui montrent d’un côté la tête de Coré Soteira et de l’autre Apollon citharède assis sur l’omphalos 54[1]. Ces dernières pièces paraissent contemporaines des tétradrachmes frappés dans toutes les villes importantes de la Mysie, de l’Éolie et de l’Ionie, sous la[2]
1703 CYZ
[3]suprématie des rois de Pergame. A dater du moment où elles cessèrent d’être fabriquées, Cyzique ne battit plus qu’une monnaie de bronze, qui se continua sous les Empereurs romains jusqu’au règne de Gallien. F. Lenormant.
FIN DU PREMIER VOLUME.
- ↑ Sestini, O. l., pl.iii, nos 9 et 10.
- ↑ BIBLIOGRAPHIE. Sestini, Descrizione di stateri antichi, Florence, 1818 ; Ch. Lenormant, Revue numismatique, janvier-février 1856 ; Th. Mommsen, Geschichte des rœmischen Münzwesens, part. I, § 1 ; Vasques Queipo, Essai sur les systèmes métriques et monétaires des anciens peuples, tables, t. F. Lenormant. Essai sur l’organisation politique et écono
- ↑ mique de le monnaie dans l’antiquité, p. 76-89 ; Revue numismatique, janvier-février 1864 ; septembre-oetobre 1867 ; Brandis, Das Mündzmass und Gewichtswesen in Vorderasien, bis auf Alexander den Grossen, Berlin, 1866 ; Barclay V. Head, Numism. Chronicle, n. s. t. XVI, 1876, p. 277 ; XVII, 1877, p. 169 ; Greenwell, Ib., 1880.
