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Page:Dictionnaire général de la langue française de François Raymond-T1-0-Introductions 10.djvu/1

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I

[. ,. m. La oeu<Çicnle lettre de l’alphabet {ran.. priéti nssurét : contre l’incendie.-tPoinçon d’acier cals. _

t La troisième voyelle. _ U y a denx au bout du<1uel est empreint la lettre / t e_t q~ 1r.

sert à ,.l3’er ou impritner celle lettre. - . t /_, 1m. P_è - ~ottes d’/, soit par la valeur, soit p-31· a ugu.re ; o

fii

d I lJ 1·alif du verbe latin E", Jeu,·e seule qui s1gm e, l’/ voî’elle et 13 consonne /. -

Un. gra11

Il

petit I.

_’Uri I long. IJn I bref.

_

L’l ~oye~le va, anal’che. P . h.

t :!t one ligne verticale’ so1·mootêe cl’ôn point (1). IAC’ ou YAC. s . m. Espëce de pavHlon ao. ll ~e pl ::ice dc,ant les c01lsonncs, idole, i311orafll, glais. Y. Y.1 .cnT. ,llu.slrc, etc. _

D :ms l’orthographe, l’i donn ? à JACCHCS. s. rn . Espèce de petit singe que l’a le :,On d’on, : OU-’"Crt, rcnué ou muet. Jamau, l’on trOnYe en Amérique.- twyth. L’un des sur~ J’auroi.s, Contr3ire, F :,.isrmt I qu’on J)J’ODOoce et noms que l’on donnait à Bacchu.s. qu’on ~crit aujourd’huj Jesaut. - La co~soon_e J, IACHAGOGJES. s . m. pl . Nom qlion donne ,

1

u’ou uoinuie un Je dao :. la nou,·e :lle _deoom1n~• à ceux qui port.aieut en ptocession la stâtn< : de tion est uoe Jin-ou p :u·eillt :ment !Crtacalc, mw B3.ccbus dans les !ètes Cleu.siniennes.- Us 3.VllÎent reco~rhée p :1.r 1 : bout iufërit :m•, <1l snrmootée la tète couronnée de myrte. c1·uu point (j ). J majusç11/e, et j minuscule. ~ L-. .C~~1’. s . m. r ...YACHT, .

J ~c pluce dc,·ant toute :s :,orl<’S de voyelles. J«d !s, l :.L~’IE. s. m. Chanson de lamentallOns cbez Jt·u J’i&nore etc. J a la ,·a.leur du G devaut l c, 1

ies tmc1ens Grecs.

coO :rue clans ’,,erme, et dctant l’i, comme d :ms ·tlALYSŒ."NS. s. m . pl. mytb. Nom d’un peuple

/iro11. f/, !· _
:_,On a jusé ~i. propo_s tle sérare1·,

1f,tl.mlf>ux que Jopiter changea en rochers, et ex• et avec 1·usou, doms les D1ctionllaires, le~ mots po~a aux foreurs des flots. ,1ui commcoccnt par no /, et ceux qui comrm ::n-LlllE. $ . in. ( ce mot a troî.$ syllabes.) Dans cent pal’ un J, ritiu de 11c mettre aucune confo- l :1 ven,ific. :ition latine et dans la grecque, c’c.st $ion daus lenr cnuioé1·ation. -Quand l’i voyelle U !l pied dont la prenùêl’e syllabe &>t brève, et fa ou l ;i cou.sonne J sont majuscules, corome dans Idcroiè1·e longue. -

Vers où il y a des iambes.

h :. : . ooms propres, et d :ms fo mot p :ir ol1 com- -En ce sens on dit :i.ussi adjectivement Ptrs mence une plu~~e ou p~riode, alors ou supprime iambe. - · t s. f. myth. . Fille de Pan et d 1Éeho,

le point dont aillem·s ils doivent être sarwontês qui chercha li consoler Cérès de la perte do sa eu devenant minu :;cule.& . -

On ruet un trcm :’.I ( , • ) fille, en ndoncissa11t sa douleur par les contes .

,ur l’/ ·oyellc, poar signifier qu’elle ne se pro- plaisants dont elle l’entretenait. On lu.i aurjbue nonce point :wcc fa voyelle précédente. Y. 1"’aiiu.. l’invention des ,·ers iambique$. -

fam. Po1tr iudique1· nn homme ,·étillenx, on IAMBIQUE. odj. des 2 g. Composé d’fambes. t !x.act dans les petites choses, on dit, Il m,.t lts Yers iambiques. Y. IAMne. points sur ln i. -

La cliphthongue ei e.st aSU·

l.AllllYCE. s . m. Jn :,troment à cordes, e~pêce jettie au nuhuu U !,,1ge qu’ai. -

Dans la djpluhon• Je cithare triangulaire des ancien.s. 1,ue am·iculaire oi, marc11 ;rnut cieux 50us, l’i a le tJ... . :MlDES. s. f. pl. 1 :amille-, grecqo.es clestj. tton de l’e ounfft. Devoil’, illoi11e, etc. -Si la nées au~ fonctions clh nugures d.iphtbongue devient nasale, au moyeu c.l’un n, TIA.Nlll.ATES. s . m. pl. Anciens penple.s Sar• l 1i désigne enco1·e l’e ouvert. Loin, Fui11, T,ù11oi11. mates, des emhoucbares du Tanaïs. etc. -

tettre numêrale qui ,·aot nn. -

’t Lettre tLO~IENS. s . m. pl . Nom qu’Homùre donnait numJrale, qui mau1uait c~,u, selon <jUt1ques aux Athêniens, ; 3Uteuu, qui lui donnaitnl la ,·alenr du C. tI. A .PYGES. s. m. pl. Peuples de la Sarmatie t l multipliC in,liqne autant d’uoül !~ qù’il est européenne, l’Oi.sins du Danube. UJ3t’"«]Oc de fois. Il. Dtux ; IIJ. Trois ; lUI {lY). !ASSE. a . m. Genz·e d’in :>ectcs Je l’ol’dre JCs Qualle · on ne multiplie p :is davantage, c :u· cinq I hémip1i :1·es. s’cx-pdme p :u· un Y.

t /, chez les anciens I IATRALEPTE. s. m. Les Grecs no,nfflaient 1omaius, i,ignifia.it lmpC’rator, empel’Cm· ~C :oé- aiu~i les ,néclccins qui tmitaient Je ! ruaJades par rai ; - t lmmorta/is, immortel ; -t ln, dans ; - <lc.18 frictions huileuses. /11comparabilis, incompa,oblc ; - t /11/eri, les L"TRALEPTIQL’E. odj. des 2 g. Se dit de la dieux m ;locs, le~ mort~ ; - t 111/rr, eotr<> ;- t /11- méc.letine qui guérit par lc.s (rictions, les fomenn a., au ,lt :,bns ; -t luw :nit, il a trou·ê ; - t /r,. ution.s, et autres remèdes extérieurs. -

Il esl

vkt,u, i.nviucible ; - t lpse, lai-nièmti ; - t Jte- aus6i snbnantif féminin. L’intralt !ptique. rum, nnc S-t :COndc fuh ; - t J,uüx, juge ; - tIÂTRE. s. m. ltèdecin. peu usité. i Jussit, il a ordonné ;- t I11tc.Nlùm, t1udqucfois, L.TRI !E. "· f. Femme qut exerce la médecine, •le., etc. r. J. -

11 cbiffl’e 1"’Qma.in.

iJar<1ue sage femme. peu usitd.

une unité de moins tlev :int lc. -s

clùITre5 V et X I

lAlRIQUE. adj. des 2 S· lft’ùica.1. -

t Pris

tn d~ignant ( J) ’tHJtr-t : na lieu de cinq, (IX) stlb~l3ntivement, nu fêmloin, ce mot a étê em• ncof au lieu de dix ; Cl flJanplc une unité de plu :, ployé <1oelquefoh~ pour dé-signet’ 1 :1 médecine.

,plt·-. les mêmes chiffres, ru dê- ...i gnant ("YJ) 6Î.x

L.l"llOCILLIIE. .s. r. Art de goèl’ir :nec des

m heu dt• ciuq, ( XI~ 001.c- 0111 lien de di.x .

-

· 1e1ot !dcs tÎl~s de ln chimie.

T 1.ijttre franc ;ai~e qui répond à l’iota de~ G1ecs, 1 IA1ROGHLJIQL] !. adj. des 2 g. Il !t : <)il des uco,·itruc ~igue <le leu. -

nlpLahtt. -

t Dans l’an- mêdecins qni u’ad1nini,1r~nl à Jeun ; malac.lb que cieu a1pbal1et chiruiqac , .sen- :tit à tle :~igner un <lr.s remcdti chimiques. -

Jl $e dit des médica-

C<"rupo :)C d’arg..- nt - Dans l< :s l>urt :au.x, mar<1ue ment$ lin- ~ dt : la ehimit. -

tEucc-sensi)tSl

un n·giMre. RcgiMrc 1. - llarque la neuvième auüi sohs1 :mti(. fA·S tatroc.lûmi9ues. teui11c d’nu ouvrnbe impriUlê. Ftmlfe 1. Si ;,’1Ul• 1.A.TR .OCHlllfSTE. b , m. Qui exerce l’iatroture J.

En .uchitccture, marque une colonne chimie, qui êtndit : lïat. - ochimic. d"nn b,ôtiment on les pierres qui doivent (ormtr tlATRO’.L~11IDIATlCI.E :, E :""’l !. odj. Qui , eue colonne.

t Inc.li’lne Ja 6gure d•unc plan- a rapport à l"iatromatht :matique. Doctrine ia/J’o• t·11e gra·( ·c d’un ou, rAge, pal’ laquelle on trOUYe mathimnticl<mnt. 411Cdetin iatromatl,ématicicn. l’explicnt 1on tle.., l’ ;u-tie, de cette planche daus le t Il ,5e prend aossj sub.)tantiveU1eo1. Les iafromatcxte -t :Iarque inctndîc d,in,- P. A. C . 1 Pro- t}u. :maticiens. tLI.TR0’.. -1 .THE :IATIQt :E. •· f . Doctrine dont les sectateuh appliquent les u1.atbématique$ ~i l’,zplication des phUoomèoc, de la ,·ie, soit c.lam l’él3l de. santë, soit dans l’érat de mabclie. -

t adj. des 2 i ;. Tl a la même sigoiGoation ’I• le mot iatrom(lt/1imntit :ien.

lATROPH.. s. m. Espeee d’arbre de la famille des titbpn11lo1des.

IATROP}l"’.SIQL1t odj. d-. • G· Se dit de la physique en·b ::igio rel31i,•cmtnt .’1 la médtcino physique médicale. (Jn 01wraGt : 1hh-opl’)·JÎtJUe. t JI est aussi suh~tantif fCmioîn. Scit :nc-0 de la phy$iquc npplir1uée à la mc :dcciue. tIAZDAN. s . m. mytb. l"om do bon principe cbei les lllnges. P. Oao»."•·

IBALUt s. f. Genre d’insectes de l’ordre d.. hyménoptères.

IBAPEllA. s. w. Espèce de frnit do ll.- . :sil, qui est de la gro,seur et de la forme d’nnc orange. IBDA.RE . s. w . Espèce de poi"on do. gtnre des cyprins.

m :E :RE. s . r . Gemr tia coquilles terrestres et originaires d’Espagne.

lllÉRIDE. s . f . Genre do plantes de LI famille dt$ c..ucifC1·es.

tIB !iRŒNS. s. m. pl. Anciens peuples qui habitaient one pat’lic de l’Espagne.

CBERLI :XE. • · f . Sorte d’etolfe que l’on nomme

mssi lm.berliw : .

IBETSOè !. ,. f. Genre de plante• de la famille des géo.is,o,des.

JBI.A.RE. $. m . Espêcc <le cécile, poissou de Ja division tlt’5 upodcs. -

C’c.s, au~si fo nom d’un

. : ;.erpeot d’Amtriqae, trts-pctlt. uu1is lrl’.wfonge- 1·cox. - Ou f. :cril t :t l’on clît aU5 !)i Jl,ijâr<f. IBIBE. s . m. Espt :ce de couleu,·re qu~on trmne dans )a C ;.rolinc.

IlllllOCA. •· tn. Sorte de conlenvrc du llrè•il. - C’est aas,i un serpent d’.rnbie. Qnelq11c.11•uns disent lbiboboca.

IBI1AU. s . m. Genre c.l’oiseao :x de 1~ fomilledcs cbélidons.

mm.... S. ru. A .rbri.5Seau <le 1., Gaia.ne. IDlfuCOA, ou Illl.8All0CA. • 111. Espèce de serpent lrt :s-dausercu,,x du Dr•é-i ;il. J. hrnoCA. tJllJR..A3fA. $, m. Serpt :nt du D1è1il, <rune grosseur extr.Àorclin :til’t.

IBlllATO :GA. •· m. Arbre qo.i donrn, le bo" du Brésil. On clit ftUSSi Jbira Pitanga. IBIS. • · w. ( il four prononcer le S.} Oi•eau ,l’f.g :)--pte qui se nourrit de serpents, t :t ’Jtll t-11 détruit bcaocoop. - Espèt·c de ci~ogne.- - ,oyth. Oiseau c :1ui a ~le long•te,op~ l’objet du cuhc dea Fgyptiens. Selon un auteur ancien, lorsqu•a rnct <a tète N sun ,·ou JSOos ses oîlc~, ,$, ;’l figure re,·ic :nl à cc !Je du cœur humain. On pl’êtend que n·l oi :)e.iu .t introtluit l’usage de’i l :wements. JI y arn1t peine de mol t, (’Lez : le) Égyptiens, contl’e Ct’IIX ’Jni tmütul un ibi'l>, mèmc p•u mégarde. Cc 1t~ pect pour l"ibis ttait, ~, :Ion toute :.pp :m :nce, fonde ~m· l’ntilirt•. Au prinlt·rnp~, il ~Ortaittl’.Arn• hie une multitnde de ~t>rptut,,- qni ,·enaitnt fun• <lrt : ~ur l’t..g)·ptc, où il~ ;.nll-’itut fnil les plo1 gr3nds 1a,• ;1sb 530.1,, ce~ oi~eanx, quj Jeor don• naient b c.hb.se cl Jes détrui~oicot tntil !remeot. Ils faisaient nn~ !i lo guenc aux chenaJes el au 11-nute1 elles. Cet oibc.10 ctait pa,ticuüërement COD• sacré à :.incr,·t .

IBITJ’.'i. •· m. Craud ,erpent des Philippin.. qui -.c fh :e par h riueoe uu 1runc de, Arb,e,, et <1ni :1tt1 :nd ’Itl’il p, :u~c .i. s.a portce ,Jes cerfs, dt,