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Page:Dictionnaire général de la langue française de François Raymond-T1-0-Introductions 13.djvu/1

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- 804 KUI d’Asgard. tes di.enx accoureot k ln rencontre di : leur chef ; m3is, prévoy :lol qu’il conservera 3’ec . . . pellle la liqueur sa ?s etre prt :. pat· .son . ~nue.au 1 il.s exposent .i fa hale tous le_s vases ’JI’ sls lroui. 1CDt. Oilio, ne poavaut pluss’cchappet a.utrcmeot, se clébarr.t55C <lu poicls qui. :tppcsautit son vo] ; en un im11ant les vues sont l’emplis de lta li11neur encb ::intée, et c,est de là qu’elle e~t passée aux clicnx et aux mortds. )fai. !J, d :ms Ja précipitai ion, Ja plnpart ne s’ap~rçurent point qu’Odin n’a.’t1Ît rendu qu’uno partie du brcuvJtgc par le bec : c’est de celte partie qu’il donne ia boire aux bon~ l>oë.ites à ceux qu’ll , eot aoi,ner d’ttn esprit ,lh·iu. ’ . . A l’êgarcl tic l’autre partie, elle est rcsen·ee pour les m3.uvais riml’urs. Comme elle coule abondamment de sa source impure, et ·que le :$ dieux en bis !icnt boire :. _ tons ceux CJni en veulent, la foule est grande autour clcs vases qni_ fa co~ti :c. :a ~ent, et c’e.st la rahou ponr la’J.ueJle 11 se fait aoJOOt’• tl’hul tant de mauvais vers. tKCBO. s. m. J’. Koouo. KUDDA- ;ULLA. •· m. Arbre dn .Malabar, qui parait t !tre le mèmc que le samb3c. KUE)tA. s. m . E.pece,de plMllC feuilletée dn grnre de$ :’lgarics. 1’.GEIŒLLE. s . f. Grès sc·histe :ix qui accompagne la houjJle des rnines d’Anz.io. th.GOES. s . ru. pl. Eccle,iastique, qui cornpos :

?nt le ,~édtablc clergê du Japon et l :i cour ùu 

Daïri. « Ils 1·épondcnt a ceux que l’on nomme J.lon1i3nori ,’i Ja cout de Rome, et sont en gént-ral p ::mvres et insoleuts. Ils ont un habit particulier, qui les dhûni ;ue <les Jaïques , et portent de larges ct1leçous ; lcw· robe en fort ample et à queue pend.,nte. Leur bouuct est noil’, et la forme en est diffél·ente, selon la dignité des indi..- idus, de mrmière<1u’oo reconnait à cette marque, de mt :me qu,a quel<tue.$ antres dfati.nc1ions> de quelle qualité est un eccl1hia~tiquu, et que) poste il occupe à la cour. Plusienr’3 attachent 3. lcol’ bonnet n.ne b :mde de Ci’êpe ou de 60Îe uofre, qui lem· des• centl sur l’ép..·nù< :; d’autres ont cle·ant les yeux une pièce si :ruhl :ible en forrue d’tE :ntiül. D’antres encore ont i,,ur la poitrine une e. :,pèce J’écharpe <Jui tombe de l’êpaule ; plu" cette écharpe est longue, p1w elle n1arque fa c1ualité ; c.u · l’usage c)c~ Kugt :S est Je ne se hajsser, rn ~aluaut, qu’au~ 1 :1ot qu.ïl faut pour qnc le hout Je 1,~ur écharpe touche li terre. Les dames <le la coor- do D,uri ont :uu,c ;i des t"C !l< :1uentb qui les distinguent des frmme$ lai’)ues. •• K. ; H :-ilE. •· r . Genre de plant.. ,le la famille de- . ciu :i.rocéphalt·~ . h.L H, !Sl"ERA, ou KUHSISTi !RE. •· f . Genre de plante ! clui cenu·e dans celui tle ! dahll !e.s. îKUlL-1’.lAPSTI. s. m . my1h. chiu. Dieu adorê pir les Chinois, Cu ttm1p1c lui c !>t conl>ncré dans la villo ,le Cangten. Uoe p3rtie de ce temple est une t>spèce d’hôtellerie. Elle c.it remplie clc lits, uou .seulement poor se, pi-c’Lrcs, mais encore poor lts ,·oy3geu.rb qui ardvent. Daus le vc.stibu.le on • KUS volt deux statues Je plâtre, ù’une taille gigan• tesque : rune l :t ?ce ~n : ;e1·peut ; l’~utre, <1ui .a r.. ;pée nue ~u 1natn , tient ~on,.. ses pieds un petit homme c1u :llc 1ucoace <le tner. Les Chiuoi, n 1ap~ prochent et ne reg3rdcnt ces delll statues qu’avec J,e ;:aucoop de fr :i.yenr. KLKA"N’. s . m. Onguent d1Afriqne que l’on fait avec Jes g1·aints de la pastèque. KULE :-1 . s. m. !’Jante dn Pérou, de la famiUe de~ Jéguminenses. tKULLOUll. • · m. Gouverneur d’une ville <le guerre en Turquie. tKUNIFF. s. ru. Liqueur du Tartares, où il enue du fait de piment. tKU :’<ilZ. • · m. myth. L’une des cinq fètcs solc,ulClle :; dn Sintos, qui ressemble, pour la liccuce, aux Saturnales et au.s . Baccbauale.s dc.s anciens Romains. KUXTilll !. s. f . So,.te <le plante de I• famille des 113l01iers, qui croit à la Nouvelle Grenade. tKlJ0 :-1 -IN-l’U-SA.. s. m. mytb. chin. Divinité moostrueuse pour laquelle les Chinois ont une grande vé,.ération. lb la r·epréseuumt :i.vec plusieurs mains, symbole de S :l libéralité : et du gra,d nombre de ses bienfails. tKUPiY. s . m . 1ny1b. Nom que les Pernviens donnent •u Diable. KUFFER-KIESS. • · m. Nom qne les mineurs allemands donnent à la pyrite cuivreuse non décomposée. KUl’FER-1’1'.CKl ::L. s . m. Nom qu’on donne an nickel cuivreux. KUPFER-RlECHE) !. s. m. Dénomination triviale p3r luqucllc les wincur-s allemands désignent des grains de pyrite cnh’l'ense qui tombent en décomposition, et qui. sont revètos : d’une conche d’oxide vert de cuivre. KUPHE. • · m. Sorte de Co$$ilc dont l.o forme es :t cooiqne. KUPRÉA.. •· f . Plante annocllc da Brésil ; on la tron’fe aussi au :Mexique. tKUPTIB :’/S. • · m. pl. :’lom d’un ancien peuple d’Égypte, que l’on croit ètre les Coptes. tKUR.BA :’i-BAill.A’.I. s. m. Fète turque. KURBATOS. •· m . Oiseau pèchcor qu’on trouve an St :négal. KUR1TE. s. f. Sorte de poisson des lnd.., qui fait paL"tie du çenre scolop,is. JI.URSAWSKA. •· m. Conche ugileasc qui recouvre la miue de plomb. tKURTCJU. -l lACHJ. s . m . relat. Chef ùn corps des K.nt’tf’his <m Pm·.s e. KURTCHIS. s. m. pl. l’elat. Co,·ps de cavale,·ic persane, compo$é cl’ancieos uobles du paya. KURTE. s . ru. Sorte de poiJson plat el qtù n’a point d’écailles. l..USSIR. s . m. Sorte d’in, ;trumcnt de mnsiqne turc, composê de cinq cordes télltlue, Sru’ une peau qui couvre one assietle de bois. l-USURJ, on KUZHRI. s. m. Alphabet de ; Oêorgiens, dont 1’1u. ; .1ge ~t borné aux li’tes sacrés. L L. " · m. Donzi,.mc lettre et neuvie’mc con,onne precédée de ai> ti, oui, elle se prononce mouiJlée de notre. alph ;lbtt. - Oo. 1u·onooc· :1it auuc(oisIcomme Ùcms, Trrwaillrr, rccueilf ;,., grrnouille, etc~ File ;. ~J :ll) ; on prononce nuJnnrd’hui U. - 1 .t ·ttre -St, prononce ai..o.si dJns les 1uu1s où elle n•st e :rp1t’lnc, qu’on met par eu.phonie devaut le mot ! pti(’édi-eque d'un l> comrne d ;ms, Fill, :, briller, et On~ comme d~n- .. , . ~ luu uu fo,i tJI, pour ~ .. -àter plu- .ieor~ antres. - Elle se prononce de mèino le 1. :onc)uri. de.. ;, ;: ;n·ablc <lei Je ;nx. voyelle$ Où o i. !dao, ; Je3 mots qui lini~scnt en aU cil 0 11 ;/ etc - C)·d 1 ’ ’ ’ ’ ., ""-oau_ cette etti-e e~t Joul, !e, et quelle t’- .St par L simple, com.mo dans, Tra11ail, ré••cil, KZE tKUTKU. • · ra. mytb. Princip>l raient aotre !oi.s les K..·uutschada.les. tKVA.SS, on K ,v ASS. •· ru. méd. et phann. Bois.son fermentée et prép !lrêe aleC la farine seigle, Je seigle gcrrne et l’eau. · K ,v Al. s . m. Grauù et bel arbre dn Japo1>, cla senre clç"i thU} ;ls. •1 If"’ ;' tKYLLOSE. s . f . med. Torsion des pied, ; état , di)position des piecl !’i•hou. K YNA.MLE . s. f. F. .sqoinaucie in.fiJmmatoiro qui empêche la re"ipiration, et oblige le malade de lta1eter en til’ant l,l lansue comme le, chiens, KYXODO~ . s. m. Genre d’aniro :i.ox uQ l’on fait entrer les crotales et Je~ t ipères. "fKY :-iOREX.lll . ,. f. T~ Cv :<OlXl&. tKY’IORRHOD0 :-1. s . m . r. CY~ORRIIODOW. KYPHORE. s . m . Gem·e de poisson• de la division tle~ tho1·achiqncs. KYPO :IS :lE. s . m. antiq. Sopplicc qui consistait à exposer au soleil le p :it.icul nu et froué de miel. tKYRBIDES. s. f. pl. my1h. Tables triangn• laires et pyr :unid :ile, où ron écdvait autrefois IN lois et les fêtes <l11s dieux. K,’1UE ÉLÉISOX. s . m. llfots grec., qui indiquent la p~rtie de la rnesse où l’on implore la mi.,êricorclc de Dieu. KYRIELLE. .s. f . L .itauie. ptu tuiti en ce sens. - Anciennt :: poé :iie française a’CC un refrain. -vie11.r . - fig. Longue saite <lt : choses ennuyeuses et fâcheuses ; succession ~ :ms fin. tKYSl’ALGIE. •· (. K"l’.Sl’ALG !QUE. adj. <leo 2 g. P. CYSTALG1B, CrsT. .f.CtQt.it. KYSTE. s. m . anat. lfcmbrane en forme de ves,ie qni renferme les humeurs on antres ma tières contre u ;:atore. E.rtirpe,· w, RJ·ste. KYSTÉOTO :IIJE. s. f. rb.ir. Opération qu’on fait à la vessle 10r$qn’on en vent tirer l’urine. -On l’appelle aussi La porulion nu pèrinie. -On dit aOMi CJ·stotomie. r . ce mol. tKYSTEUX, EGSE. adj. wéd. Qui tient du kyste séreux. Tissu k ;·.steu :e. tKYSTHITE. s . f. chir. TnOammation de la vulve et de la membrane muqucu)c do vagin. 1KYSTHOPTOSE. s . r. cuir. Chute on rcnver- .s enaent cl u ,•aglo. KYSTIQUE. adj. des • S· Qui appartient an kyste, qui peut Je guél’ir. th.YSTIRRAGIE. s . r. KYSTIR.RA.GIQIJE. adj. dcJ 2 g. P. CYn•ran.,c ;t~, Cvsna1uGtQOJ :., i"KYSTllUH !!E. s. f. KYSTIRRlll ;.IQGE adj. des 2 g. r . CJ’s1·rnRni.1 :, C Y~ruuurÉtQfJE. tKYSTO-Dl !llJlllUX, EUSE. adj. me, !. F..xcrt• tear. Jl/embrane hy,1tc-d, :rmtuse. tK YSTO l"O :l !IE. s . f. Y. C :r•To~o,ut. th.YfTARllAGlE. s . f. chir. Êcoalement de s. :mg qni a lien p :u une a.lvêole. tK Y. lï’Af,RAGlQUE. adj. de, • S · Qui tient i 13 J..yuar :igi,•. Flux ki1tarrn3iip1e. 1’.ZEL -D.CHll. s. m. Ornement de t~te fort en usage en Perse• fenouil, etc. ; - et, da os quf"lqoes antres, comme <lao.s, Pêril> mil, signifiant ,1/ill,t> etc. - LDl 50not point c.l :m, lt !i 1uots Sourcil, outil> baril> ete. ; on prononce comme ,’il y av ;1it Soud, ordi, bn.ri, etc. - L ii :,,itial < :OO !i.Cr’e toujoors le 50■ qu.i lui est propre. IAfÎll, larron, etc. -Se con- sen•e C :g~lcment an milieu d’o.u mot, enlre deus - 1