Quintilien, Institutions oratoires, liv. I, chap. 3. — Ce judicieux écrivain fait un devoir au maître d’expliquer aux jeunes gens l’origine des noms. Scrutabitur mille prœceptor acer atque subtilis origines nominum. — Le même, liv. IX.
Robortellus. De rectâ nominum impositione. Thesauri critici Tom.
Rocoles (Jean), historiographe de France. Les Imposteurs insignes etc., édition de 1728.
SSabbatier (de Chalons). Dictionnaire pour l’intelligence des Auteurs classiques. Article Nom, vol. XXX, p. 453. 1783. Emprunté de l’Encyclopédie.
Servii (Pétri) Miscellaneorum cap. 5, 6, 7, 8, quibus sententia Castellionis de nominibus fœminarwn refellitur. Antiq. Roman, in-fol. Tom. II.
Sigonius (Carolus). De Nominibus Romanorum. Antiquitatum Romanarum. In-fol. Tom. II. — Ce traité m’a paru le plus méthodique de tous ceux sur ce sujet que contient cet utile répertoire.
Spanheim. De usu veterum numismatum. Tom. II, — L’auteur s’y est étendu sur l’origine des sobriquets des Romains, en les considérant par le rapport qu’ont aux médailles consulaires ceux des principales familles de la république Romaine.
Stephani (Caroli) Lexicon historicum, geographicum, poeticum, gentium, hominum, deorum, etc. — Cette édition a été revue par un ancien professeur du collège Royal, nommé Morel. Je crois qu’on a fait depuis du même ouvrage des éditions plus amples et plus correctes.
Sterne, Tristram Shandy, Tom. I, chap. 19, p. 104, édit.
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de 1782. — Sterne, dans ce chapitre, traite gaiement l’opinion de l’influence des noms sur la vie entière, qu’il attribue au père de son héros. Il divise les noms en classes, les heureux, les indifférens, les malencontreux. Dans cette dernière classe se trouve Tristram, imposé à son héros, en dépit de toutes les précautions de son père.
Streinius. De gentibus et familiis Romanorum. Antiq. Roman. In-fol Tom. VII.
Textor, Officinaa. Part. I, p. 150.
Trévoux (Dictionnaire de), article Nom. Tom. VI, p. 219, édit. de 1771, Prénom. Même Tom. p. 972. Sobriquet, Tom. VII.
Trippault (Léon), sieur de Bardis. Le Celthellénisme, ou étymologie des mots français dérivés du grec. Orléans, 1580.
Ursinus (Fulvius). Familiœ Romanœ nobiliores, — Antiq. Roman. In-fol, Tom.VII.
Valere-Maxime, livre X. — Ce chapitre roule sur les noms romains ; mais on croit que c’est une addition de quelque moderne.
Varron. De Analogiâ linguœ Latinœ. Lib. II. — Des recherches curieuses sur les prénoms romains.
Vaugelas. Observations sur la langue Française. Article des Noms propres. Tom. I.
Verdier (Antoine du), De l’Imposition des Noms, et qui a meu l’auteur de nommer une sienne fille Dorothée. Chap. IV du livre V des Diverses Leçons, p. 367, édition de 1610. — Peu de chose.
Vigneul de Marville (Banier). Révolte des Noms propres latinisés. Tom. III, p. 78. 1713. — Cette plaisanterie, plus froide que piquante, a été depuis réimprimée dans le Mercure de France, Mai, 1741.
