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TABLE GÉNÉRALE
Thrace, renommés pour leur vie austère ; Tertullien en fait mention ; Strabon loue la pureté de leurs mœurs ; XIII, 180.
Abiron, lévite séditieux. — Voyez Aaron.
Ablancourt (Perrot d’), traducteur élégant de Lucien, etc. — On lui doit l’introduction du mot rabrouer dans la langue française, VI, 105. — Choisi par Colbert pour écrire l’histoire de Louis XIV : le roi le refuse pour cause de religion, ibid.
Abominable. — Valeur de cette expression et de ses synonymes, Détestable, Exécrable, XIII, 180.
Abraham. — Dieu lui ordonne d’immoler son fils Isaac, I, 202. — Son obéissance est récompensée par la grâce de l’innocent, ibid., alinéas 38, 39
Absolution. — Voyez Savon.
* Absolution. — Est en conséquence d’une faute ou d’un péché, et concerne proprement l’état du coupable, XIII, 181. — Synonymes : Pardon, Rémission., ibid. — Valeurs différentes de ces expressions, ibid.
* Absorbant, terme de médecine, XIII, 181.
* Absorber, Engloutir, synonymes ; XIII, 181.
* Abstinence des Pythagoriciens. — Ils ne mangeaient ni chair ni poisson, XIII, 182. — Cette abstinence de tout ce qui avait eu vie était une suite de la métempsycose, ibid. — Pythagore s’abstenait également des fèves, de la mauve, du vin, etc., ibid.
Abstractions. — Terme de psychologie et de logique, II, 179. — Ce sont des ellipses destinées à rendre le langage plus commode et plus rapide, 180.
* Abstraits (Termes). — Leur valeur en logique, XIII, 182.
Abus de pouvoir. — Est lié au pouvoir, comme l’effet à la cause ; exemples, II, 389.
* Académicien, Académiste. — Ce qui distingue ces qualifications, XIII, 183.
Académie. — Pourquoi les académies étouffent les hommes de génie, II, 327. — Ce que doit être ce corps de savants, III, 519.— Récit satirique d’une séance de l’Académie de Banza (Paris), IV, 162-164. — Suite de cette séance, 165. — Sa fin tumultueuse, 166. — Est un établissement particulier soumis à des conditions spéciales d’admission, IX, 222. — Injustice de l’Académie française à l’égard de Rulhières lors du concours de 1767, XI, 374, et XVIII, 297. — Comment Diderot traite les membres de l’Académie, à cette occasion, dans une lettre à Mlle Volland, XIX, 273.
Académie. — Lieu choisi par Platon, à Athènes, pour professer sa philosophie, XVI, 313.
Académie ancienne, secte de philosophes qui suivaient la doctrine de Platon et de Socrate. — Les habitués de l’Allée des marronniers leur ressemblent. I, 215, alinéa 1. — L’académie ancienne était composée de vrais platoniciens : philosophes qui lui appartiennent, XVI, 326.
Académie moyenne. — En quoi elle diffère de l’Académie

ancienne, XVI, 320. — Philosophes qui lui appartiennent,

330.
Académie nouvelle. — Fondée par Carnéade et Clitomaque, XVI, 326. — Philosophes qui lui appartiennent, 333.
Académie de la Crusca. — Son célèbre vocabulaire, XIV, 446.
Académie de peinture. — Sa conduite honteuse et ses injustices dans la distribution des prix de l’année 1767, XI, 376. — Décerne à Moitte, élève de Pigalle, le prix de sculpture que, d’une voix unanime, la partie saine de l’Académie et tous les élèves attribuaient à René Millet, élève de Le Moyne, 377. — Scènes tumultueuses que cause cette injustice, ibid. — Fait casser tous les bas-reliefs du concours, afin qu’il ne reste aucune preuve contre elle, 378. — Suites de cette affaire, 380. — Diderot la raconte à Falconet, XVIII, 297.— Il écrit à Mlle Volland comment cette Académie se déshonore, XIX, 274 — Scènes et scandale à cette occasion, 275 et suiv.
Académies juives. — La plus ancienne, celle de Nahardea, est érigée en