Aller au contenu

Page:Dierx - Œuvres complètes, Lemerre, II.djvu/114

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

104 LES AMANTS

— Tes larmes tariront, tu souriras encore !
— Oui, toujours, comme toi, vers le bourreau perdu !
— Ah! je te reconnais, fantôme que j’abhorre !
— Oui, je suis ta jeunesse, ô cœur noir! corps vendu !