Page:Diogène Laërce - Vies et doctrines des philosophes de l’Antiquité, trad. Zévort.djvu/430

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sonnement négatif, à Aristocréon, II ; Raisonnements négatifs, à Gymnasias, I ; du Raisonnement par progression[1], à Stésagoras, II ; des Raisonnements par interrogation et de l’Arrêt[2], à Onétor, II ; du Couvert, à Aristobule, II ; du Caché, à Athénadès, I.

Huitième section : Du Personne, à Ménécrate, VIII ; des Arguments composés d’un terme fini et d’un terme indéfini, à Pasylus, II ; du Personne, à Épicrate, I.

Neuvième section : des Sophismes, à Héraclide et Pollis, II ; des Arguments dialectiques insolubles, à Dioscoride, V ; contre la Méthode d’Arcésilas, à Sphérus, I.

Dixième section : contre la Coutume, à Métrodore, VI ; sur la Coutume, à Gorgippide, VII.

À la logique se rapportent encore, en dehors des quatre grandes classes que nous avons indiquées, des ouvrages embrassant diverses questions sans liaison entre elles, au nombre de trente-neuf livres. En tout, trois cent onze livres sur la logique.

MORALE. OUVRAGES QUI ONT POUR OBJET L’EXPLICATION DES NOTIONS MORALES. Première section : Description de la raison, à Théosporus, I ; Questions morales, I ; Principes probants pour servir de base aux dogmes, à Philomathès, III ; de l’Honnêteté, définitions à Métrodore, II ; de la Perversité, définitions à Métrodore, II ; Définitions sur les choses indifférentes, à Métrodore, II ; Définitions générales, à Métrodore, VII ; Définitions suivant les autres systèmes, à Métrodore, II.

  1. Le sorite ; exemple : si un homme de trois pieds est petit, il en est de même d’un homme de trois pieds un pouce, et ainsi jusqu’à quatre, jusqu’à dix pieds.
  2. C’est-à-dire : de la manière de résoudre le sorite, en trouvant un point d’arrêt pour couper court aux interrogations successives.