Page:Dochez - Nouv dic, 1860, p1, A-Dogmat.djvu/465

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DOCTRINAIRE. s. m. Prêtre ou clerc séculier de la Doctrine chrétienne.

comme de ses propt:cs CO!lséqucnccs. VIL·I·rPibewiki (d).~~ DO . i rétienne _Père de Le:; amendes, les kttrrs de cachet, çt mê~nc ’- I ]a Doctrwc c 1 • · le meut des livres au pieù du gra!.d cscaher ,du pa- ticnue. · · . .,. lais ne sont pas des obstadcs contre les doç- (Doétrlnaire, au commŒ}Cement du dix-septwme trin~s Id. Je su.is toujours cc que j’~uds, aussi ~;i~cle~ semblait désign~r un homme plus a.ttar:hé à tendr~ Pour Jcs per3onnc:; qu’inflexible contre la i:t doctrine qu’au sentiment, ~t .Balzac rejet~ut ce doctrine. BossuET. Les doctrines vraies ont tou- mot comme synonyme de calviniste. De nos JOUrs, jours cuelquc chose de sévère qui choque les pas- k nwt doctrina.irc n désign~ le membre d’.q~e réu.: . sions de:. h01!1mes. LAunEiTlE. La saine doctrine niou politique, ~yant des Id~e.s systémausces sur est un cxceUent préparatif a la bonne vic. Boss~fT. ic gouvernement parlementaire.) Il faut que les doctrines rdigi.cusc~ et moraks tien- Le mot de religionnaire_n’est pas· français. Il vient nent au cœur d0 l’homme par de profondes racines du même pays que ~lui de doctrina~re, et c~ fut pour qu’elles aient pu résiste:- aux passions, tou- sans doute un prédi~ateur gascon qutl’a débité 1~ jo~rs liguées pour le!} détruire.. Fnusst~.ot’S. Le~ premier dans .les chaJ~~.de P~ris. BALZA?· ~a. re- doctrines nouvelle’) veuleut r.ro1tre da11~ je sang-de forme religieusc.du seizie~e Siècle tendait à. 1n~ro- leurs premier3 apôtres. LAMARTJN~. ~heu na nous · duire quelque-chose deir~id, de sec, de doctrmaJre, ~--heurte plus rudement que cette doctrme. PA~cAr.. de pointilleux dans l’esprit. CuATEAUBR!AND. C’est là. une doctrine c~pable de bouleLrse~ le DOCTRINAL,’ALE. adj. T . de théol. Qui a trait monde et de mettre tout .l’uninrs en com~ustwn. à la doctrine. · . · D’AnuNco~_;nT. Les·suitcs-de--tcH-c -· doctrlnC !ont · ’est em ta é our confonne aux pr~- frayeur. BossuET. Tout gr~nd .combat d.e doctrir;es (Doc~I~al ~orah~ P_YJfg chière dame rlist le entraîne toujours des exagijratwn,s part1ellcs. G.~n­ ~t’ptrs. e ~ r · ~· ensois es/re venit ù) ’rmr de DET. C’est une so.urce ft~conde d crre~rs ~JllC dm- y~net ~a.r:l!’ff[;/em~i· il me semble ftJe.j~-revai à tcrpréter les doctrwcs d,’une épo(jue d apres la ma- . ~; ·~ ~ ezf e{/dzff~r be~u fils dis! la 1’0ine la joie ni~re dont les questions sont posées-~. une autre N:{ e. · a et la) mère fo~t à leurs f;n{~ns dQif époque, séparée souver;tt de 1.~ premll’re. par u~ ~P,.’i(~ ale. PeaCEFOREST xye,) grand inter~alle. Id. ~es nnttons étp.ng.l’rcs, f!Ul 0 - nn .’ , n’ont pu rès1ster à nos armes, chrrcberon~ à sc dé- Les décisions doctrinales des papes ont tOUJOUrs dommager sur nos doctrines. DF. llo:-iAI.D. N’épar- fait loi d<~.ns l’Egliw. J . DE MAISTRE. gnops rien pour prévenir le VC’nin d’un~ ùoctri~le DOCTRINE. s . ( . Savoir, érudition. - Ce que qui ne cherche qu’à s’établirïnsensîblement sous l’on croit et ce que l’oq CC1$E.igne. - Opini(Jn profcs- couleur dr. piété. llogsun. Quand le cœur est dans s-~c ou adoptée sux: telle ou telle ma.til!re. -Frères )a paix ct le sîlenr:e, le génie le plus ~O!’rH~ rortc au r!-: la Doctrine chrétienne~ membres d’une congr·é- dedans de lui-mf·mc un fond de dro!ture ~t de vé- ,eation institué~ pour enséignfr la religion catho- rité f]ui le défend contre la séducti~n èes ~a.us.sr?s· Jiq•1e ct catéch1ser les peuples. doctrines. P . NEUVILLE. L .a d~ctrme ch~dcn;-u:· (En l’enfant vtent apai~~C: toute::. les ardeurs lllCJurtPibewiki (d)-·s de l rspnt. Grandpreu, quand il volt el relient G. SAND. Cc pauvre, dépourvu de scicnre, et dont La !.lon ne doctrine duptre. Y&orno l••, :nn•, :r.:!v•. on ne s’occupera jamais, a, par lu seule doctrine de Çr1~11n1::!nf~ beau nepveu} :list la dame) ~ot~lez-vo!l’:; ses mœurs, exercé ?u.1 · .ses ~ompagn?ns de so.uf- ~mr de ma doctrtne qut ne tend fors a l hc,nneur france .J’influence div mc qm émanait du Christ. el f/U J,rrmffit de’ t’OU! et de nMt’re li,gnm[Je? Mn- CnATEHBRfÂND. Sa doctrine était absolumPnt ir- Jw. ,tf!1 di~t te. chevaher, d.e 1;ostre doctri11e ne ~e . répréhensible·, puiSijUC ses plu<> grands r.nncmis~e- ronr;P.z{ ne veulx tssu·. PERUFOREST, ne. meu raient muets devant lui. Boss~_;F.T. La (loctrwe . .., rl,0ctrine force ne ~(•mine. Recncikdc Gru- t;aintc n’offre rien qui ne combatte l’orguril ct la t!:·•r, Hï". Gertair:-~ 6rowllon.s · dressent I.e~ cqr,ws f’Ol upté. llfASSILLO:’i. 11·.1aissa ces v.cnts ~r, d.o.ctrino rr,nfrr: ~~yfedoctnne. CALH:’i, xvre, c.. C est chose qui enflcrrt,pours’t'll tcmrà la charité CjUJédlf!e.Jd . .~:rr,rrfr?e, le naturel fait plus san~ la doctr·ine que li se remplit ,de cette doctrine que l’Eglise appf·llc

, r/r,ctrir;e .wn~ le ru.durel. J . ou BELLAY, XV!t. divine ct cékstc. FLÉCHIER, Le crt:dit ct l’auto-

1J·j rlr?llllmrle la répression des fausse;· rJ.uclrim:~. rité du ·si~cle étaient inutiles à une doctrine drs- dc Conçlé, xvie. Que le~ erreurs et faus~e; çenduc du cid; elle sc suffisait-à cllc-mêmP. pour soient mise~ IHIS) Dieu avancera son s’établir dans l’univers. J.i,SSJLLO~. La g~àce dis- ·; ·~, 1·r. Id. Les a’!,.ien~ réservaient touJ?w·s l’exa~ pose les cœurs à profiter de ln prédi~ation d’une ’•1U1 dr: lu p;.: .reté m.t(neure de la docl1’me) c’est-~~- bonne doctrine. B:ossHT. 0 Evnngrlt~, que trs ll’"rle la r.0nfr;rmiëéavec l’âme et l’infrntion de mystl:rcs Ront liés; flUe ta doctrine est suiviet Id. !’l L1~ au:r P,ltt.s ~pirft.uelfi~ comme unP, dNputc de C’est cette profondeur de doctrin~ qui, de s.on ~’" 1 f1U! ludeme. C . ~u ~E.li,RO;"i, ~vie,(. L~ do,c- temps, fit la ~loire de Bossuet. Il étalt plus admiré ,r"’" r.ftdllenne ass-ujetllt l e;çpr~t lJ. Dwu~ ajm q.u 1l comme th(:ologien que comme orateur, et ses con- I~ y(/ufç. cf s~?coure~ et assujelttl à l’esl!rll.toufes traverses éclipsaien-t son éloquence ..... Plus tard, , •’ ;,o, >101/S~ afin qu’il les .bride et modèt-e . SAl:>tT les contro·crse~ dogmatiques perdirent leur crôdit. r 1 1~.0:::. 111:: SALES, x ne, f. Alors J’admira<.ion be tourna vers les o~ fu- Li·~ dcrn’iers coups de ca.nqn tirés en Chine, en flèl.Jres, et llossuet ne fit ~uc cha.nger de lWiTe. les Yoies à. l’exportation du thé, ~e la SAINT~~Anc ·GmARDIN. Jcsus·Chrrst parcourt la et ]wmmes ont aussi aidé les doctrines ,Judée, qu’il remplit de sc<; bien raits; secourable 1 · t mauvais.es 1 à pénétrer plus facilement, e-n aux malades, mbéricordieux envers les pécheurs, r:J·:Jnr_: temps que l’opium. P . BaourLLON. Une mo- liant il ’se montre Je vrai ru~dcéin par l’accè.s qu’il ra!r:: pure est u.oe d.e8 plus ce.rta"oos eooditi.o .ps de jcur donne auprès de lui, faisant res~entir aux sucees pour uoe dQctrJne philosophique, J. SUriON. Jwrnmes une autorité ct une d~ntceur qui n’av.ait P•:ndant qu’on veut. renverser, contre le préC#pte Jamais paru qu’en sa. personne..... q .ui n’ad,mlre- dj sa.ge.lcs ancieu.nes bornea posé.eJi par uos pères, rait la condescendance a ne laquelle. Il tcmpel·e ln E:t l!former la doctrine une Cois reçue p;trmi les"’· hauteur de sa doctrine? C’est. du la1t v.our les rn- hd.des, ün s’e~r., IWl8 bieO- pénétrèr toutes les fants, et tout ensemble -du p~m pou~ .les fo~ts. o.n SJitC'> de ce qu o·n a.vlfice. JlossuET. L~ doctrine le voit plein de~ secret3 de Dieu; mats on vmt qu’JI dr. -’3 1.1ng exige la. di~s~ion, celle des autres la sou~ n’en e~t pas c:tonn~ com.mc les antres mortels à. r~~hsron. J. J . RotJSSEA.D, On me tnxe, par des qui Dieu se commumqu~, tl en parle ~rtturP-llem?nt, l·tlr~ Cori agréablemen! arttangées, de contradic- co mm~ étant né dans cc secret et lS cette glo!rc; ’:n r:ntre ma conduite et ma doctrine. la. Si ct ce qu’il a. sans mesure, ~1 le ’JUnd aYcc n:e~ l auteur pense qu’on.f..ui#e accorder toutes les par· sure, afin que no.tre faiblesse puisse e rter. Bos- t:("i de sa doctrine, Jl est vj.sible _qu’il ·SC trompe. l5tJE1’. Eos~t:.n. ~~l~ P,e.uH:.t .re qUe pa doctrine ~era si DOCV~IE~T. s. m . ·Titre, preuve par écrit. - plau:.Ible et si be !Je, qu’e).lc <lonne:ra Gu crédit à cet Renseignement. ~.r)mme si méprisé. id: · Lu’ther Je prenait d’un ton .o; ’· , • ~~ prophèt6 ~ntre eeu1: !=JUÏs’Qpposaient à ~a,doc- DODECAEDRf, .- ’ s . m . f: de gêom. Soli?e d.ont ~noe. Id. En sôJ’t.ant dès aentiments de secte où la surfilee est formee d,e douze pentagones r~gulicrs l! rivait, il c~.t emporté~ tout vent de doctrine. Id. J~gau:~, ,. Il s’agît, non pas..de telle ou teUe doctrine particu- (Du grec dtJde~w) douze 1 et edra) plnn.) i~;Pibewiki (d):ais 4e savoir ;l:i les &a~iétés.s~ront en déve~ DODÉCA.G,QNE. s . m . T: de géom. Pol,ygonc qui . pP .ent, ~n pmg;rès, ,ou bten s1 ~elles rcstoTont a. douze angles et douze cOtés. Jmmobilf>S, au joug per’man~::nt de quelques posses- . - . , ~u’;S.. Gu~zOT, ~ progrt>s fu monde et qu d:ame (Du grec f’~deka/douze, et gônw) 8rl.glc.) de lln.,tOirc conSISte dana la stipal’fttlon, tOUJOlll"B noDÉCANDRIE. s . f . T . de bohn. Clnssc du Phl3 prononc~~, dea r:J.eux doctrines et des deux Jïystème de Linné rtni renferme les plantes dont les · Pibewiki (d) 1 f,s, de telle ~.a.uièr-e qu’il !l’Y ,aj~ Jllcu; d’uu c~té fleurs ont douze ~tamines. . • Vains err~l;lr1 del autl’f} la. vérité. Gr.AT.llY. E~.rrlts . • DODELilEJ. r . a . Bercer comme pour enùor- d ’qut f;utes trop1lée de votre doctrmo avec tant rn ir imprimer un. mouvement doux ct r0gulicr. e pompe, bachez que ce ~aient glorieux ne ’ous ’ ..) ·· . , nP~<; ét(: donné r.our vous fui re valoir vaus-mê:ncs; {il a]’l'erpeut Pam~rgc en ~tzalnllen, d w! resrCJJ:I’ l~al~ POUr (aire triompher ]a v6rité. flOSSU~T. t’CSVfiSSUIIl e! d~dei.lJ~Cl_lll de la l~S1C, I,~HEL~JS, clf:f é.tait en effet le grand docteur· de Jca’n Hus, XVIe, è•. Ils csgay1!li~ zl tres,swtloll, ct lw-fflesme aus~1 b1en que de .tout le parti des ht:J-~.~ites; mais se her~·()l/ en dodetwar1l fat~ ste. Id.) il f’~t constant qu’1ls n’en suivaient pa..; la dqctrine Le joueur de r~hcb, gi’oS Turc à rou d0 tànrcau, ~tite crue rt qu’il~ 4tf;h4,~l).t qc~~n.pliq~er. ·Jd . dndf>linait de la t~te av.ec up air de ~:-uisf1~ctjon /Jute g~nde dq.ctrine devient un ·Peu. ·responsable Jnexprimab!e, comme euivrd de sa propre musHjUC. ’ ' fa~x bruits qu’ou ~épAA4 ijQr llllll ÇQjjjpt~, ’):~, G4UlW<, . 1

~·1 • . ~ DQG.· DO.DIXEr;(SÉJ·: v . pron. Avoir beaucoup de soin ile sa personne. (On disah aussi dodiminrr, a·cc le sens actif de care~ser.- Vin rar b’O}J prin'> lroUUf!~ rr.;ugit !es yetJX el nffoiUit la vue et l11 chief) et fait dodiner et tremhltr. LE CIIEYALIER 11E C Totn, XI’e, Or~ l’endort•..• . e~ . .·~· te dodiminrmt de douce main. G. CHASTELLAIN, xve, m.) DODO. s. m·~ Fair~ dodo) dormir. - Al!el’ à drJdC!) aller se coucher,__aller dormir. (1est usité qu:en parlant aux enfants ou dans le langage des enfants.) Ils Tl’purrnt !ous à g•JgQ, I·.t pui!; aprl"S tirent d<Jdo. !n11.no:-. DODO, l’E. adj. Çrns, potCJé, qyi a beaucoup d’embonpoint. · Ces .,:~~’{•IlS sent doùus: mang..ez, sur ma pariJlc. Don.E.œ . Pour le remettre un peu sur pied, il m’en a coUté au moiAs cent douzain~s d’œufs, comme Dieu le sait, aiÎ1si flUe tout le monde, et mes poules.•• .• elles sunt si bonnC’s, si dodues. D.HJA~-HI:-i.!.B.D.

riOGARÊsSE. s . f . Femme d’un doge.

DOGAT. s . m ..Dignité de doge.-Dt.;r~c de cette digrlît~. DOGE. s . m . Chef de la. rPpublique de Venise où de CC’llc de Gênes. · - DOGllr-TIQ(-E. - - adj. Qui appartient au dogme’, qui .concerne ~c dogme.• qui e~t con~acr~, usit~; .d~ns, ’· l’t~colr. -~ Qm dogmatise, qm expnme une opmwn ,d’une manîi:re précièusc t’t tranchante. - s. m . Style consacré au dogme, à .l’cxpos~ ~u ~ogme, C’est la profoude ignorance qui mspirc le ton dw•m;I.tiquc. L - - Dnt:rEJ_ -E . En fait de scienc’!, il en coGre---prus à ramour-rroprc d’etre timict~ et rYr-: rboniL:n, que d’être do;;matique ~t hardi. _Fo.),T~- 1’ELLE. Si j’dais plus sûr de n~m-mL·Inc, J’aura~s pris a’ec yous un ton dor;matique c:t décisif; Jll<!IS je suis homme ignorant, sujet à l’erreur: que pou- vais-je faire? J. J . Ho1 ~SE.~t:. A"ec tout cc ton do;;matiquc et froid, ils ~ont vif~, impétu~ux, .et ont le-s passions trè::..- :u-dentes. Id. Totîs ,les e~prits jmp0ratifs (’t d0gmati<tùCs nous U!.Jt i:nposé. PH • CUA’:iLES. L’autol’il0 du pape dans l’E;;lisl?, rela- tivement mn questions dogmatique~, ·n toujou:s été u1ar4u~(’ au coin d’une extl’l ·me ~agc:,:::c; jamais {~liu Ile s’est montr~c pr•~cipitéc, hautaine, imul- tantr, dl•f:.pOtique. J, DE MAISTRE. Les Yérité;:, dog:- platiqnr.s doivent sc résoudre en actrs h·ants, dont l’harmo<Iîe avec notre vraie nature est la.der- nièrc d0rnonstrat’ion. GABRIEL. DOGlLTIQLiEliEXT. adv. D’une manifrc dog~. JUt’l.tique, solon les règles de l’écale. - -D’un ton tranchant et sentencieux.. Les savants Youdraient bien s’attribuer en cette qua.lit01c droit de parler do;;mar-iqut:mr·Ht de toutes J;:ho:,cs. 1Icou::. lb réuui~-5cut tous leur~ effurts • ~Zli~s~i{~ Pibewiki (d) 11 janvier 2015 à 11:31 (UTC):Pibewiki (d)·!emcnt des chose::. toutes uou- DOG~L’IïSÈ:I. v. n . EnseignC"r une doctrine fausse ou dangéreusc. - Enseigner ~on opinion personnelle arec le toll d’une autorité sup~riturc, principalement en matil-re de Î’eligion. (La.J’érité de lrt foi Il C’;ié J;re)’cltét: ]’ublique- rneat, ofm gue dwsr:un pui~çe appercl!t’0Ù’ C!Jm~ ment ceu.r qui ’Jnt la fau~setf! crmtraire doJmaJ, .é en secret, ou ù part~ ’sr;nt à UtasJ11er •. Gu.so ."’, ~l’r' ).e, Au C.011lrtlf?W:rmcnt dr: l’E.’jlht:~ ;~h:.<(’Ur’S dogmatisèrent C6Jtfre la perduraUe t’iryo~rté de ]'>lostre Dame. Id. Sairtf Auguçtin..... at:oU suu- vent à verlir aux mains (l 1:ec le.)· M’umclle’t:ns ..... qui dugmulisoi~nt que le V1’cil Testwr1er.: ... .. ejtuil cvn- /l·uire tw i’oul’eau. C . ne Pt:RRO:-’Ie, f. Estant U. Toulouse, m’est0i1· me .de’ de rlugnwti,er de TiUit avec les lutitériens. Sat. Ménippée, XYJ", ( .) Dogmatisez, commandez- nous, décidez -J"ous, -s oyez absolu,· prCnez parti : ainsi ont fait tou::; l!!s écrivain:; orgueilleux qui. prérühcnt le succ.::S nctuel à. la vérité, et le ’plaisir ùç J’empire à celui de !’étude. Pu. CuASLÈS, nonsard a· dogmatisé; puis Vaugelas, puis l’aLbU d’Aubtgnac,,ru.is La.Jno- the-Hou!ikl.rt. Id. Une société a·ancée, ou les .for- ce<> de l’esprit sont’ aussi dé.,·eloppé~’S que les furces physiqu~s, n’est Jamais troubléB que par des pas- · sions qm dogmatisent. DE llo~Ln. DOG:JATJSElR.. s . m . Celui qui aime à .:logma- t’iser, à prenrl[e un ton dogmatifjuc.. ~ DOGlJATISME. s ..m . Tepdance de l’esprit à en~eigner et à affirmer ~vec·le ton de l’autorité. ·(Qu’irai-je ~hoi,’Ù'? Ce ·Z’lil VfHlY plaila) v•urns que VOU’ chmsù·sÙ:’:., J’Ol Ù Il tiC sr)/fe re}p0/l6eJ Ù /a’flWlle il ’~Cilllde }Jf)Urtant que tout le duguw. - l!.Sff/C al’l ’iVe • .MO;"iT:A!G~.r:,.~VJC;_f,) La foi ,daùi b raison lnunainc po’t:r t.intes 1~ chu-. ’,es dont la raison, ·dont les facult~s ln.; .mailiCS, en g~n0ral; nous t.u.ggi.·r~nt. lïd0c, 1Qilà- ce,, qui ~ co!htitue lC èlogmati.- ,nlC’. lilv.~o.:. ’oiLL ùouc la. guerre cu verte L:ntrc les lwmm.cs; il faut que cha- c.un prenne p;trti et se range nécP:;saîr-eruent ou au ùoguame ou au pyrrhoni!:)lllC. PASCA.) .. ..