Scène 8me.
Quelle fête
Qui s’apprête,
Amis, crions : Allah !
Chantons, chantons, crions : Allah !
Gloire ! honneur à notre pacha,
À ce pacha si grand, si bon !
Il vient ici, amis, chantons :
Quelle fête
Qui s’apprête,
Amis, crions : Allah !
Chantons, chantons, crions : Allah !
Ainsi donc il est censé que nous sommes ici pour nous amuser ; en conséquence, je déclare que le premier qui ne s’amusera pas, je lui fais couper la tête tout de suite.
Premier rayon de la lumière sans fin, je viens t’offrir mon hommage et me précipiter à tes genoux pour baiser la poussière de tes souliers, c’est-à-dire de tes babouches.
Baise, mon ami, baise…
L’autre, s’il vous plaît.
Mais sois gai, c’est l’ordre du jour. Ne m’as-tu pas promis que nous aurions une bête curieuse ?