Eh ! non, not’ maître, mais vous prenez la mouche tout d’suite, vous vous enl’vez comme une soupe au lait, parce que j’ai dit que l’macaroni était un animal, quand on n’connaît pas les choses… ma foi… ma parole d’honneur ça m’suffoque ; moi, moi qui veux tout faire pour votre plaisir, vous m’rudoyez !… Ah faut avouer que j’suis ben malheureux !
Ah ! M. Plumet, voyez donc, mon pauvre cousin, ma parole, il pleure.
Allons, allons Jocrisse, ne te chagrine pas, je me suis laissé un peu emporter, voyons n’en parlons plus… plus tard, tantôt je t’en apporterai de ce macaroui et tu verras que la chose est fort simple quoique très bonne !… Voyons, mes enfants à la besogne, chacun de votre côté… pour moi, je sors, je rentrerai le plus tôt possible et mon ami Vincent vient avant mon retour, recevez-le avec respect, avec égard… allons, au revoir.
Au revoir not’ maître.
Scène 6e
Mon pauvre cousin, M. Plumet vous a encore rudoyé, il vous a chagriné, hein !