Ah ! ah ! ah ! ah ! toujours gai, not’ maître, toujours gai et faut-y l’mettre à la broche tout d’suite ?
Oui, oui, et comme il n’y a pas de fête sans lendemain, ce dindon est pour nous régaler demain matin, car, mon ami Vincent, malgré ses grandes affaires prendra domicile ici.
Mais…
Il n’y a pas de mais… c’est comme ça… allons, Jocrisse, vivement mon garçon.
Oui, not’ maître, donnez-moi l’Dindon et j’vas vous l’farcir d’une façon lumineuse, petit hahis et truffes, ce sera excellent et embaumant, laissez-moi faire.
Je compte sur toi… va mon garçon.
Surtout Jocrisse… veille, veille, et préviens-moi.
Soyez tranquille, je n’vous quitte pas.
Ah ça, mon cher Vincent, je me suis permis de passer après le dîner une bonne et joyeuse veillée, j’attends Grégoire, Jourlo, Dominique, tous des anciens amis, ils ne peu-