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Page:Dorian - Poèmes lyriques, Marpon et Flammarion.djvu/80

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Alors il vit pâlir au milieu des nuées,
Clignotant et transi l’aveugle et vieux Soleil,
Qui tel qu’un feu follet des tombes soulevées
Se perdit vacillant dans le vide éternel.