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GENEVIEVE.


prieur des Carmes, qu’elle avait enlevé par son lavement d’air inflammable, bien revenu de cet accident, mais furieux du scandale que son vol et sa posture indécente avaient occasionné, intentait à ma tante un procès-criminel et religionnaire… et que, d’autre part, le procureur chez qui j’avais été cuisinière, avait rendu de même plainte contre moi, pour complicité dans le vol, effraction et dilapidation de ses propriétés par ses clercs, et où ma tante était aussi impliquée. Il ajoutait qu’on était à notre recherche, et que les ordres étaient donnés pour nous appréhender au corps.

Cette lettre nous brouilla la cervelle à toutes deux. Nous lûmes cependant bien vîte l’autre.

Elle venait d’un vieux curé chez qui ma tante avait déjà servi pendant quelque temps, avec qui elle entretenait encore une certaine correspondance… Il lui marquait que, sa gouvernante étant