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GENEVIEVE.




CHAPITRE XXX.


Ma tante devient gouvernante d’un curé.
Comme quoi je suis sa nièce.


Je n’avais donc rien de mieux à faire que de rester dans cet hôpital, et d’y continuer mes fonctions auprès des autres malades. Je le demandai, et on me l’accorda. Je vécus ainsi pendant quelque temps. Un jour, un bon prêtre qui venait administrer les sacremens aux moribonds, et qui m’avait vue plusieurs fois dans cet hôpital, fut nommé à une petite cure de campagne. Il avait besoin d’une gouvernante, il me proposa de l’être. J’acceptai, je partis avec lui, et j’y restai pendant près d’un an, durant lequel il fut infiniment satisfait de mes services.

Je croyais enfin être arrivée là au port du salut, et que j’y finirais mes