Page:Dorvigny - Ma Tante Geneviève, ou Je l’ai échappé belle, 1800.djvu/623

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
92
MA TANTE


min, et ce voyage, arrangeaient d’autant mieux ma tante, qu’outre le plaisir de se retrouver avec d’anciennes connaissances, avec Jeanneton sur-tout, qui lui avait une si véritable obligation, cela l’éloignait de la France, où elle se déplaisait, où elle craignait beaucoup, et où elle n’avait presque plus d’espoir de rien trouver d’avantageux.