Page:Dostoïevski - Carnet d’un inconnu 1906.djvu/38

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pendant tout le trajet, je me sentis fort satisfait de moi. C’était en juillet ; le soleil luisait ; devant moi s’étendait l’immensité des champs de blé déjà presque mûr… J’étais resté si longtemps enfermé à Pétersbourg, que je croyais voir le monde pour la première fois.