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Page:Dostoïevski - Crime et chatiment, tome 1.djvu/242

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constater qu’en effet son frère « revenait à lui ». Aux yeux de la mère et de la sœur, qui le regardaient avec une reconnaissance attendrie, Razoumikhine apparaissait comme une véritable providence. Nastasia leur avait déjà appris de quel dévouement avait fait preuve, pendant la maladie de leur Rodia, « ce jeune homme déluré », ainsi que l’appelait ce même soir, dans une conversation intime avec Dounia, Pulchérie Alexandrovna elle-même.