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Page:Dostoïevski - L’Idiot, tome 2.djvu/404

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comme des souris dans une cave ; eh bien, ici, du moins, j’ai pleuré à la russe sur ce pauvre homme », et elle montrait avec émotion le prince, qui ne la reconnaissait pas du tout. « Assez d’entrainements, il est temps d’écouter la raison. Et tout cela, tout cet Occident, toute votre Europe, ce n’est que de la fantaisie, et nous tous, à l’étranger, nous ne sommes que fantaisie… souvenez-vous de ce que je vous dis, vous le verrez vous-même ! » acheva-t-elle d’un ton presque irrité en prenant congé d’Eugène Pavlovitch.

FIN.