Page:Doucet - Moïse Joessin, 1918.djvu/73

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 71 —

De très beaux cerveaux ont affirmé et écrit : « Quand on dit : cette personne est morte, après qu’on la croit morte, et la vraie mort, la mort absolue, réelle, il y a entre cet état encore un océan de miséricorde. »

Or l’océan est une chose immense.

Il faut compter en tout sur la force connue sur la résistance des choses, et les choses ne sont pas toujours dans les mêmes conditions : un morceau de fer de 150 livres, ne pèse plus étant dans l’eau douce, ne pèse plus le même poids, et moins encore, dans l’eau salée.

Ceux qui ont un bon jugement, et qui ont souvent raison, avouent facilement quand ils ont tort.

Toute religion qui se forme en parti politique se cause à elle-même et cause aux autres bien du mal, elle se diminue et diminue bien des choses