consacrés à George Sand : j’en aurai plusieurs à vous signaler. J’indique une fois pour toutes les deux volumes publiés sous le pseudonyme de Wladimir Karénine[1] par une femme appartenant à la haute société russe : c’est, pour toute la période qui précède 1840, l’ouvrage le plus complet. Un savant maître de l’Université, M. Samuel Rocheblave — l’homme qui, aujourd’hui, connaît le mieux la vie et l’œuvre de George Sand — a été pour mon travail le guide le plus dévoué, le conseil le plus judicieux et le plus sur : je tiens à reconnaître la dette que j’ai contractée envers lui. Enfin, des archives particulières se sont ouvertes pour moi, libéralement. Il y aura de l’inédit. C’est la manie du jour. George Sand n’ayant guère publié qu’une centaine de volumes, romans et nouvelles, soit toute une bibliothèque, à laquelle il faut joindre quatre volumes d’autobiographie et six de correspondance imprimée, on nous demande à toute force des « documents nouveaux » sur cet écrivain, pour lequel il
- ↑ Wladimir Karénine, George Sand. Sa vie et ses œuvres, 2 vol. in-8o (Ollendorff).